« Le rieur alors, d’un ton sage,
Dit qu’il craignait qu’un sien ami,
Pour les grandes Indes parti
N’eût depuis un an fait naufrage. »… (Continuer)
Laisser un CommentaireDécouvrez la richesse de la poésie française
« Le rieur alors, d’un ton sage,
Dit qu’il craignait qu’un sien ami,
Pour les grandes Indes parti
N’eût depuis un an fait naufrage. »… (Continuer)
Laisser un CommentaireQuand je serai mort, quand je serai de nos chère morts (Au moins, me donnerez-vous votre souvenir, passants
Qui m’avez coudoyé si souvent dans vos … (Continuer)
Laisser un CommentaireNous sommes les proscrits ; nous habitons l’abîme ;
Nous assistons dans l’ombre au vil bonheur d’un crime ;
Nous regardons l’esprit vaincu par l’animal,… (Continuer)
Prenez garde, mes fils, côtoyez moins le bord,
Suivez le fond de la rivière ;
Craignez la ligne meurtrière,
Ou l’épervier plus dangereux encor.
C’est … (Continuer)
1619.
Race de mille rois, adorable Princesse,
Dont le puissant appui de faveurs m’a comblé,
Si faut-il qu’à la fin j’acquitte ma promesse,
Et m’allège … (Continuer)
Corsaire Sanglot revêt son costume bien connu des rues bruyantes et des trottoirs de bitume. La vie peut continuer s’il lui plaît dans Paris et … (Continuer)
Laisser un CommentaireCe soir après la pluie est doux ; soir de septembre
Si doux qu’on en voudrait pleurer, si plein d’abeilles
Qu’on fuit tout défaillant la … (Continuer)
Sur l’effrayante falaise,
Mur par la vague entrouvert,
Roc sombre où fleurit à l’aise
Un charmant petit pré vert,
Ami, puisque tu me laisses
Ta … (Continuer)
On entend l’Océan heurter les promontoires ;
De lunaires clartés blêmissent le ravin
Où l’homme perdu, seul, épars, se cherche en vain ;
Le vent … (Continuer)
L’on n’imagine pas dans les temps fort anciens
Combien l’homme souffrit de sa vide écuelle.
Il devait livrer seul une lutte cruelle
Pour survivre lui-même … (Continuer)
Le soir après la pluie dans mon jardin
Beaucoup de gens battent des mains
Venez monsieur le poète venez voir
Les étoiles sont blanches dans … (Continuer)
Laisser un CommentaireJ’ai l’ouïe déchirée
J’envie ton repos
Grand paquebot des usines
A l’ancre
Dans la banlieue des villes
Je voudrais m’être vidé
Comme toi
Après ton … (Continuer)
Dans le parc froid et superbe,
Rien de vivant ne venait ;
On comptait les brins d’une herbe
Comme les mots d’un sonnet.
Plus de … (Continuer)
Laisser un CommentaireComme un bruit très lointain des cloches et des vagues
J’entends dans mon Esprit chanter des rhythmes vagues ;
Je rêve des sonnets divinement sculptés… (Continuer)
Le bras sur un marteau gigantesque, effrayant
D’ivresse et de grandeur, le front vaste, riant
Comme un clairon d’airain, avec toute sa bouche,
Et prenant … (Continuer)
Les plus divins amours se jouaient dans sa tresse,
Les éclairs de ses yeux les plus froids enflammaient,
Et ses plus doux soupirs l’air d’odeurs … (Continuer)