Je disais : ‘ Quand viendra la reine que j’attends,
La grande fiancée aux mains victorieuses,
Je trouverai des paroles mystérieuses,
Des mots couleur de … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Je disais : ‘ Quand viendra la reine que j’attends,
La grande fiancée aux mains victorieuses,
Je trouverai des paroles mystérieuses,
Des mots couleur de … (Continuer)
Ô rêves de jeunesse, éblouissant mirage,
Qui vous arrachera de mon cœur éperdu ?
Qu’étaient donc ma raison, ma force, mon courage,
Qu’ils aient fui … (Continuer)
Laisser un CommentaireMa chambre garde au coeur une vertu glacée ;
ce soir d’hiver je suis son plus rude ennemi.
Mais je puise une faim de victoire … (Continuer)
Elle pleurait, toute pâle de crainte,
Lors que la Mort sa moitié menaçait,
Et tellement l’air de cris remplissait
Que la Mort même à pleurer … (Continuer)
À cette terre, où l’on ploie
Sa tente au déclin du jour,
Ne demande pas la joie.
Contente-toi de l’amour !
Excepté lui, tout s’efface. … (Continuer)
Laisser un CommentaireDu temps que j’étais écolier sauvage
En un vieux collège aux livres moisis,
S’en vint jusqu’à moi, s’en vint une page
D’un recueil tout frais … (Continuer)
Inexplicable cœur, énigme de toi-même,
Tyran de ma raison, de la vertu que j’aime,
Ennemi du repos, amant de la douleur,
Que tu me fais … (Continuer)
Fable VI, Livre V.
Quelques brochets jetés dans nos étangs
N’y sont pas tout-à-fait nuisibles.
Craints des poissons de tous les rangs,
Mais au fretin … (Continuer)
Si ton coeur, gémissant du poids de notre vie,
Se traîne et se débat comme un aigle blessé,
Portant comme le sien, sur son aile … (Continuer)
A Catulle Mendès.
Un long frisson descend des coteaux aux vallées ;
Des coteaux et des bois, dans la plaine et les champs,
Le frisson … (Continuer)
L’oiseleur Amour se promène
Lorsque les coteaux sont fleuris,
Fouillant les buissons et la plaine ;
Et chaque soir sa cage est pleine
Des petits … (Continuer)
Le pur soleil qui remise
Trop d’éclat pour l’y trier
Ôte ébloui sa chemise
Sur le dos du vitrier.… (Continuer)
X.
Et toi, céleste ami qui gardes son enfance,
Qui le jour et la nuit lui fais une défense
De tes ailes d’azur !
Invisible … (Continuer)
Ô poète ! pourquoi tes stances favorites
Marchent-elles toujours cueillant des marguerites,
Toujours des liserons et toujours des bleuets,
Et vont-elles s’asseoir au fond des … (Continuer)
Dans l’ébullition de mon âge indompté,
J’allais droit à mon but, sûr que ma volonté,
Ni du temps, ni du lieu, ni des êtres sujette,… (Continuer)
J’ai vécu. Ce n’est pas que la mort m’épouvante.
Mais en sondant mon cœur j’ai vu qu’à ses parois
La fleur de poésie était toujours … (Continuer)