Ah ! si fines de taille, et si souples, si lentes
Dans leur étroit peignoir enrubanné de feu,
Les yeux couleur de lune et surtout … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Ah ! si fines de taille, et si souples, si lentes
Dans leur étroit peignoir enrubanné de feu,
Les yeux couleur de lune et surtout … (Continuer)
On ne t’aime peu ni prou,
Roudoudou si doux, si roux.
T’es pas joli, t’es pas riche
Et t’as tifs et poils en friche.
Pas … (Continuer)
Comme un esprit qui reviendrait à intervalles réguliers tant leur maintien est le même et n’appartient qu’à elles et tant elles semblent portées par le … (Continuer)
Laisser un CommentaireUn hydrolat lacrymal lave
Les cieux vertchou
Sous l’arbre tendronnier qui bave,
Vos caoutchoucs
Blancs de lunes particulières
Aux pialats ronds,
Entrechoquez vos genouillères,
Mes … (Continuer)
Chanson.
Qui l’a donc sitôt fauchée,
La fleur des moissons ?
Qui l’a donc effarouchée,
La Muse aux chansons ?
Je n’aime plus ! qu’on … (Continuer)
Laisser un CommentaireDans vos yeux, sur la vie amère
Brilleront les clairs diamants
Qu’on voit dans ceux de votre mère.
Entre mille éblouissements,
Au milieu des rêves … (Continuer)
Laisser un CommentaireC’était au temps du temps qui galopait.
Vous disiez à l’azur : «
Embrassez-moi »,
et j’en étais jaloux,
jusqu’à le menacer de cent mille … (Continuer)
Laisser un CommentaireQuand la belle Vénus, sortant du sein des mers,
Promena ses regards sur la plaine profonde,
Elle se crut d’abord seule dans l’univers ;
Mais … (Continuer)
Je suis perdu dans les abîmes de l’être
Et seule ta présence me laisse encore un espoir de
raison
Paysage colorié de toute vie substance … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe monde est plein de compagnons habiles,
De ciseleurs, de rudes artisans
Forgeant le fer ou les métaux fragiles,
Faiseurs d’outils et de joyaux plaisants,… (Continuer)
Laisser un CommentaireDéjà la rapide journée
Fait place aux heures du sommeil,
Et du dernier fils de Vannée
S’est enfui le dernier soleil.
Près du foyer, seule, … (Continuer)
C’était l’heure où d’aimables fées
Apportent dans leurs blanches mains
Riches colliers, brillants trophées
Au triste séjour des humains ;
C’était l’heure où, plus amoureuses, … (Continuer)
III.
J’ai vu comment, d’une patte,
En ce siècle sans pareil,
On épouse un cul-de-jatte,
Et de l’autre, le soleil.
J’ai vu comment grince et … (Continuer)
Laisser un CommentaireSur le vert Hymette, Éros, un matin,
Dérobait du miel à la ruche attique,
Mais, voyant le Dieu faire son butin,
Une prompte abeille accourt … (Continuer)
Sur un livre de fleurs qu’il avait peintes.
1602 ou 1603.
Quelques louanges nonpareilles
Qu’ait Apelle encore aujourd’hui,
Cet ouvrage plein de merveilles
Met Rabel … (Continuer)
Frères, de qui toujours la parfaite harmonie
Règne, sans s’altérer, dans vos vieux différends ;
Grands corps, de siècle en siècle, affermis en vos rangs,… (Continuer)