Le printemps maladif a chassé tristement
L’hiver, saison de l’art serein, l’hiver lucide,
Et dans mon être à qui le sang morne préside
L’impuissance s’étire … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Le printemps maladif a chassé tristement
L’hiver, saison de l’art serein, l’hiver lucide,
Et dans mon être à qui le sang morne préside
L’impuissance s’étire … (Continuer)
A cinq O’clock déjà debout,
Dans la lumière qui délivre
Un clown marin a ouvert,
La caravane des livres
Le jour pince le pli des … (Continuer)
Laisser un CommentaireNotre ville est l’enfant de tant d’usines de souffrances que nous devons lui pardonner les faux pas les pas perdus les pas à pas alors … (Continuer)
Laisser un CommentaireAu jardin dans le coin des pensées
Mes amours se sont dépensées
Simples et graves comme ces fleurs
Portant leurs visages aux coeurs.
Dans ma … (Continuer)
Laisser un CommentaireEn vain la nuit s’écoule, en vain le ciel se dore
Des premiers doux rayons de la déesse Aurore,
Sur la mer poissonneuse ils sont … (Continuer)
Voyant l’ambition, l’envie, et l’avarice,
La rancune, l’orgueil, le désir aveuglé,
Dont cet âge de fer de vices tout rouillé
A violé l’honneur de l’antique … (Continuer)
Un regard
ou une grimace
Le soleil a lui
Dans le miroir ce n’est plus le même
Un nuage passe à cheval
En courant le … (Continuer)
Laisser un CommentaireMe vient sourire en votre doux sourire,
Me vient chagrin en vos minces chagrins,
Me vient désir en vos désirs sans freins,
Me vient lyrisme … (Continuer)
VI.
Hélas ! tout est fini. Fange ! néant ! nuit noire !
Au-dessus de ce gouffre où croula notre gloire,
Flamboyez, noms maudits ! … (Continuer)
Un chant dans une nuit sans air…
– La lune plaque en métal clair
Les découpures du vert sombre.
… Un chant ; comme un … (Continuer)
Laisser un CommentaireQui me dit que tu n’es
loup qui se fait berger
et se veut d’icelui
l’allure et le portrait ?
Qui me dira le temps… (Continuer)
Sonnet.
Quand, pourpre de plaisir, Mars en tes bras faiblit,
Ô Vénus, et, laissant retomber son grand buste,
Livre au coussin sa tête olympienne et … (Continuer)
Un geôlier parlant au mari d’une prisonnière.
Veux-tu laisser ici ta femme désormais,
Pour un peu de l’argent ? Hé, prête lui la main ! … (Continuer)
Les dimanches d’été, le soir, vers les six heures,
Quand le peuple empressé déserte ses demeures
Et va s’ébattre aux champs,
Ma persienne fermée, assis … (Continuer)
Je suis un voleur, un filou,
Un scélérat, je le confesse,
Mais quand j’ai fait quelque bassesse,
Hélas, je n’avais pas le sou !
La … (Continuer)
Voie lactée ô sœur lumineuse
Des blancs ruisseaux de Chanaan
Et des corps blancs des amoureuses
Nageurs morts suivrons-nous d’ahan
Ton cours vers d’autres nébuleuses… (Continuer)