C’est bien mon deuil, le tien, ô l’automne dernière !
Râles que roule, au vent du nord, la sapinière,
Feuillaison d’or à terre et feuillaison … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
C’est bien mon deuil, le tien, ô l’automne dernière !
Râles que roule, au vent du nord, la sapinière,
Feuillaison d’or à terre et feuillaison … (Continuer)
Enfin ! seul ! On n’entend plus que le roulement de quelques fiacres attardés et éreintés. Pendant quelques heures, nous posséderons le silence, sinon le … (Continuer)
Laisser un CommentaireUn Loup n’avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, … (Continuer)
L’amitié, mais entre homme et femme elle est divine !
Elle n’empêche rien, aussi bien des rapports
Nécessaires, et sous les mieux séants dehors
Abrite … (Continuer)
Ô Faust, ta lampe blême expire de sommeil ;
La page où tu lis tourne au vent frais de l’aurore.
Lève le front, regarde… au … (Continuer)
Étant au frais de l’ombrage
De cet ormeau refrisé
Sur les plis de son feuillage,
D’un beau sep favorisé,
D’un beau sep qui l’entortille,
Et … (Continuer)
Dans le ciel gris des anges de faïence
Dans le ciel gris des sanglots étouffés
Il me souvient de ces jours de Mayence
Dans le … (Continuer)
En m’en venant au tard de nuit
se sont éteintes les ételles :
ah ! que les roses ne sontelles
tard au rosier de mon … (Continuer)
Elle vint dans Ninive énorme, où sont les fous
Qui veillent dans les lits et dorment sur les tables,
Et le théâtre est cendre où, … (Continuer)
J’étais assis devant la mer sur le galet.
Sous un ciel clair, les flots d’un azur violet,
Après s’être gonflés en accourant du large,
Comme … (Continuer)
Le jardin appuie à la fenêtre son épaisseur parfumée.
La nuit vient doucement s’appuyer au jardin.
Marie (elle est assise à la fenêtre) entrouvre un … (Continuer)
Laisser un CommentaireCésar a fermé la paupière ;
Au jour doit succéder la nuit ;
Que s’éteigne toute lumière,
Que s’évanouisse tout bruit.
A travers ces arcades … (Continuer)
Laisser un CommentaireLes plus belles voix
De la Confrérie
Célèbrent le mois
Heureux de Marie.
Ô les douces voix !
Monsieur le curé
L’a dit à la … (Continuer)
La pudeur n’a pas de clémence,
Nul aveu ne reste impuni,
Et c’est par le premier nenni
Que l’ère des douleurs commence.
De ta bouche … (Continuer)
Laisser un CommentaireJ’ai divagué aux antipodes
De toutes les littératures
Et je songe à la vie future
Comme un bien inutile exode
Un grand voyage est en … (Continuer)
Je hélais un cocher de fiacre
Moi, paria,
Mais lui, sans nul vain simulacre,
M’injuria.
Pâle, évoquant la catastrophe
Et les tourments,
Il écumait comme … (Continuer)
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