Fable IX, Livre V.
Fier de sa charge magnifique,
Fier de porter, je ne sais où,
Pour je ne sais qui, l’or du Chili, du … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Fable IX, Livre V.
Fier de sa charge magnifique,
Fier de porter, je ne sais où,
Pour je ne sais qui, l’or du Chili, du … (Continuer)
Quand la feuille en festons a couronné les bois,
L’amoureux rossignol n’étouffe point sa voix.
Il serait criminel aux yeux de la nature,
Si, de … (Continuer)
Chemins de passe hôpital et linceul
Exil décapitant sa tête
Ses paroles étaient d’un enfant
Ses larmes étaient d’un enfant
Je ne sais plus pourquoi … (Continuer)
Laisser un CommentaireDu grand rêve païen par les âges déchue,
Femme, cette douceur amère t’est échue
De garder, sur ton front cher et découronné,
Rameau toujours vivant, … (Continuer)
Laisser un CommentaireBien qu’à grand tort il te plaît d’allumer
Dedans mon cœur, siège à ta seigneurie,
Non d’une amour, ainçois (1) d’une Furie
Le feu cruel, … (Continuer)
Père de l’Univers, suprême intelligence,
Bienfaiteut ignoré des aveugles mortels,
Tu révélas ton être à la reconnaissance.
Qui seule éleva tes autels ! bis.
Ton … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa Rochefoucauld dit, Madame,
Qu’on ne doit pas parler de soi,
Ni ?.. ni ?.. de ?.. de ?.. sa ?.. sa ?.. sa femme. … (Continuer)
What ?…
(SHAKESPEARE.)
Des essais ? – Allons donc, je n’ai pas essayé !
Étude ? – Fainéant je n’ai jamais pillé.
Volume ? – … (Continuer)
Sonnet VI.
Hardy j’entreprendray de te rendre éternelle,
Targuant de mes escrips ton nom contre la mort,
Mais en t’éternisant, je ne travaille fort :… (Continuer)
Sur la croupe d’un mont je vis une fabrique
De cent brasses de haut : cent colonnes d’un rond
Toutes de diamant ornaient le brave … (Continuer)
Simples ou parées, quelques qu’elles soient.
Les lettres que nous envoyons aux femmes,
Les lettres de désir et d’amour et d’espoir,
C’est notre moi qui … (Continuer)
Les trois hymnes primitifs que les trois Régents avaient nommés : Les Lacs, l’Abîme, Nuées, sont effacés de toutes les mémoires. Qu’ils soient ainsi recomposés … (Continuer)
Laisser un Commentaire…Silence d’un mot, Silence d’une larme
Silence d’un frisson au-dessous d’une trame
D’une rage enfermée tout au fond
De l’obscure, isolée, dans l’abysse profond
Silence … (Continuer)
Dame sans trop d’ardeur à la fois enflammant
La rose qui cruelle ou déchirée, et lasse
Même du blanc habit de pourpre, le délace
Pour … (Continuer)
A la sainte, martyre et vierge,
Et de son sexe l’ornement,
Vous allez porter un cierge
Et la prier dévotement
De garder le bleu turquoise… (Continuer)
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