Bonne journée j’ai revu qui je n’oublie pas
Qui je n’oublierai jamais
Et des femmes fugaces dont les yeux
Me faisaient une haie d’honneur
Elles … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Bonne journée j’ai revu qui je n’oublie pas
Qui je n’oublierai jamais
Et des femmes fugaces dont les yeux
Me faisaient une haie d’honneur
Elles … (Continuer)
A Jules Tellier.
Parsifal a vaincu les Filles, leur gentil
Babil et la luxure amusante — et sa pente
Vers la Chair de garçon vierge … (Continuer)
Amour ! le seul péché qui vaille qu’on se damne,
En vain dans ses sermons le prêtre te condamne,
En vain dans son fauteuil, besicles … (Continuer)
Tournez, tournez, bons chevaux de bois,
Tournez cent tours, tournez mille tours,
Tournez souvent et tournez toujours,
Tournez, tournez au son des hautbois.
Le gros … (Continuer)
Laisser un CommentaireDouce violette,
Vierge humble et discrète,
Fille de nos bois,
Dis-moi dans quels songes
Ainsi tu te plonges
Sans joie et sans voix ?
— … (Continuer)
Laisser un CommentaireQuel calme nocturne, quel calme
nous pénètre du ciel.
On dirait qu’il refait dans la palme
de vos mains le dessin essentiel.
La petite cascade … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe ne t’écris de l’amour vaine et folle :
Tu vois assez s’elle sert ou affolle ;
Je ne t’écris ni d’armes, ni de guerre … (Continuer)
Des yeux auxquels ainsi, qu’en un Trophée
L’arc, et les traits d’Amour sont amassés :
Des cheveux d’or, crêpés, et enlacés
D’une coiffure en fin … (Continuer)
Je l’oeilladais minue, échevelée,
Par un pertuis dérobé finement,
Mon coeur battait d’un tel débattement
Qu’on m’eût jugé comme en peur déréglée.
Or’ j’étais plein … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe n’arrive plus à écrire, j’ai perdu mes lettres
Mon égérie a suffoqué en enterrant un cher être
Chaque sentiment a un mot, mais j’ai … (Continuer)
Le décor est royal ; les arbres éclaircis
Alignent la beauté des larges perspectives ;
L’eau, qu’un bassin de marbre encadre dans ses rives,
Étale … (Continuer)
La terre est de granit, les ruisseaux sont de marbre ;
C’est l’hiver ; nous avons bien froid. Veuxtu, bon arbre,
Être dans mon foyer … (Continuer)
Quand sur moi je jette les yeux,
À trente ans me voyant tout vieux,
Mon coeur de frayeur diminue :
Étant vieilli dans un moment,… (Continuer)
A Albert Samain
Avec ses espaliers de luxure et de fastes
Le jardin merveilleux où règne ton infante
Dans la grande lumière étage ses terrasses … (Continuer)
Dompteur à peine né, qui tuais dans tes langes
Les Dragons de la Nuit ! Cœur-de-Lion ! Guerrier,
Qui perças l’Hydre antique au souffle meurtrier … (Continuer)
Sous le poids des ans révolus
Se sont penchés nos fronts moroses,
Si bien que nous ne savons plus
Pourquoi les printemps ont des roses.… (Continuer)
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