Le rapide est sous pression
Nous nous installons dans un
Pullman pompéien qui
ressemble aux confortables wagons des chemins de fer
égyptiens
Nous sommes autour … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe rapide est sous pression
Nous nous installons dans un
Pullman pompéien qui
ressemble aux confortables wagons des chemins de fer
égyptiens
Nous sommes autour … (Continuer)
Laisser un CommentairePuis ça, puis la,
Et sus et jus,
De plus en plus,
Tout vient et va.
Tous on verra,
Grands et menus,
Puis ça, puis … (Continuer)
Il est nuit… Qui respire ? … Ah ! c’est la longue haleine,
La respiration nocturne de la plaine !
Elle semble, ô désert ! … (Continuer)
Par les branches désordonnées
Le coin d’étang est abrité,
Et là poussent en liberté
Campanules et graminées.
Caché par le tronc d’un sapin,
J’y vais … (Continuer)
La marjolaine et la verveine
La marjoveine et la verlaine
La verjolaine et la marveine
Chez Catherine ma marraine
On fait son lit de marjolaine… (Continuer)
Laisser un CommentaireVois, ce spectacle est beau. Ce paysage immense
Qui toujours devant nous finit et recommence ;
Ces blés, ces eaux, ces prés, ce bois charmant … (Continuer)
À David Sauvageot.
I.
Les cygnes migrateurs qui passent dans les airs,
Pèlerins de haut vol, fiers de leurs ailes grandes,
Sont tout surpris de … (Continuer)
Perrette sur sa tête ayant un Pot au lait
Bien posé sur un coussinet,
Prétendait arriver sans encombre à la ville.
Légère et court vêtue … (Continuer)
Pille d’acier je n’aimais personne dans le monde
Je n’aimais personne sauf celui que j’aimais
Mon amant mon amant celui qui m’attirait
Maintenant tout a … (Continuer)
Laisser un CommentaireL’araucaria attire les regards
On admire sa taille gigantesque
Et surtout ses branches
Qui nées à différentes hauteurs
s’élèvent en manière de candélabre
Et s’arrêtent … (Continuer)
On dirait que la Terre a bu le sang des lis
Et d’un deuil éclatant voile cette hécatombe,
Car déjà la blancheur des marbres clôt … (Continuer)
Laisser un CommentaireFamiliers du
Déluge
nous sommes quelques-uns
je dis quelques milliards
sous nos chamarrures
(le jaune
Chenille
l’or
Scarabée le noir
Capricorne)
à faire trembler le … (Continuer)
Quand tu m’aimes, qu’à tes étreintes
Je m’abandonne avec émoi
Pour calmer mes tourments mes craintes
Mon amour parle-moi
Il faut peupler les nuits hostiles… (Continuer)
Claude je ne suis pas né pour mourir
J’ai sacrifié ta gloire à de mortels désirs
Claude tu seras bientôt presque morte
Douloureuse et perdue … (Continuer)
Laisser un CommentaireFable VIII, Livre III.
Au milieu des forêts, sans trop user ma poudre,
Mon fusil, rival de la foudre,
Fait un bruit qui ne finit … (Continuer)
Stances au Roi Henri Le Grand.
1610.
À la fin tant d’amants, dont les âmes blessées
Languissent nuit et jour,
Verront sur leur auteur leurs … (Continuer)