Loin du cap de Penn’hor, où hurlait la mêlée
Sombre comme le rire amer des grandes eaux,
Bonds sur bonds, queue au vent, crinière échevelée, … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Loin du cap de Penn’hor, où hurlait la mêlée
Sombre comme le rire amer des grandes eaux,
Bonds sur bonds, queue au vent, crinière échevelée, … (Continuer)
Ce texte est une traduction de Pierre Corneille d’une œuvre
anonyme de piété chrétienne de la fin du XIVe ou début du XVe s.
(Que … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe temps m’appelle : il faut finir ces vers.
A ce penser défaillit mon courage.
Je vous salue, ô vallons que je perds !
Ecoutez-moi … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe dernier coup de vêpres a sonné : l’on tinte.
Entrons donc dans l’Église et couvrons-nous d’eau sainte.
Il y a peu de monde encore. … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa cime haute a défié ton poids. Même si tu ne peux l’atteindre, que le dépit ne t’émeuve : Ne l’as-tu point pesée de ton … (Continuer)
Laisser un CommentaireFraîches, d’un rose vif et pâle tour à tour,
Les heures du matin sont l’enfance du jour.
Du ciel elles ont vu la ville, leur … (Continuer)
Les arbres se livrent peu à peu à leurs branches, penchent vers leur couleur et poussent en tous sens des feuilles pour se gagner les … (Continuer)
Laisser un CommentaireLorsque j’étais encore un tout jeune homme pâle,
Et que j’allais entrer dans la lice fatale,
Sombre arène où plus d’un avant moi se perdit, … (Continuer)
Le destin avec ma famille
M’a traîné loin de cette ville
En ces lieux où je me déplais.
Hélas ! je suis à la campagne,… (Continuer)
Réglons notre papier et formons bien nos lettres :
Vers filés à la main et d’un pied uniforme,
Emboîtant bien le pas, par quatre en … (Continuer)
Quoi donc ! la vôtre aussi ! la vôtre suit la mienne !
Ô mère au coeur profond, mère, vous avez beau
Laisser la porte … (Continuer)
Dismoi, rose, d’où vient
qu’en toimême enclose,
ta lente essence impose
à cet espace en prose
tous ces transports aériens ?
Combien de fois cet … (Continuer)
Laisser un CommentaireFouaille dans l’épouvantail, fécal fanal, pie ! Égosille-toi dans les charbons ardents !
Lucider remonte, hirsute, la pente du cogito
Pointe sa langue hors de … (Continuer)
Berger du monde, clos les paupières funèbres
Des deux chiens d’Yama qui hantent les ténèbres.
Va, pars ! Suis le chemin antique des aïeux.
Ouvre … (Continuer)
Faut savoir interroger leur double
quitte à ne voir l’heure qu’à leur clocher
qui n’est pas sans rapport avec la cloche de plongée
faut apprécier … (Continuer)
Laisser un CommentaireSous les toits, avec deux pots de fleurs pour jardin,
Le poète crotté vit pourtant à son aise.
L’élève de Jean-Jacques a trouvé sa Thérèse… (Continuer)