Avec ta gente mie,
Où vas-tu, troubadour ? »
« — Je vais à ma patrie
Demander un beau jour.
Salut, rive enchantée,
Qui vis … (Continuer)
Avec ta gente mie,
Où vas-tu, troubadour ? »
« — Je vais à ma patrie
Demander un beau jour.
Salut, rive enchantée,
Qui vis … (Continuer)
Fable IX, Livre IV.
Prétendons-nous au même office ;
Aspirons-nous au même objet,
Sous-lieutenance ou bénéfice,
Trône ou fauteuil ; en ce projet,
Mes bons … (Continuer)
Si tristes les vieux quais bordés d’acacias !
Pourtant, toi qui passais, tu les apprécias
Ces vieux quais où tel beau cygne de l’eau changeante… (Continuer)
Un œil crevé par une plume
Larme qui tombe de la lune
Un lac
Le monde rentre dans un sac
La nuit
Les cyprès font … (Continuer)
Laisser un CommentaireUn jour je n’entrerai pas à l’Académie.
L’Evangile selon
Saint
Truc.
Il ne faut jamais ternir sa mauvaise réputation.… (Continuer)
Laisser un CommentaireDieu dit un jour à son soleil :
— Toi par qui mon nom luit, toi que ma droite envoie
Porter à l’univers ma splendeur … (Continuer)
Deux Mulets cheminaient, l’un d’avoine chargé,
L’autre portant l’argent de la Gabelle.
Celuici, glorieux d’une charge si belle,
N’eût voulu pour beaucoup en être soulagé.… (Continuer)
La ville que je veux serait je ne sais où,
Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou prés d’un fleuve en Chine.
L’air bleuirait sa tour … (Continuer)
Est-ce que tu dors ?
Est-ce que tu t’éveilleras un jour?
Ni veille ni rêve : cela est.
Des enfants jouent
Un éclat sur une … (Continuer)
O fourberie d’une amitié parfaite ! Sonorités sournoises d’un double écho de l’un à l’autre cœur !
Nous aimions, nous décidions en même confiance : … (Continuer)
Ardagôn le boucher, à la rouge encolure,
Un grand couteau luisant passé dans sa ceinture,
Pousse hors de l’étable et conduit au hangar
Le bœuf … (Continuer)
Appuyé sur les reins et sur les contours blancs
Des cuisses, au-dessous des merveilles du buste,
Le ventre épanouit sa tension robuste
Et joint par … (Continuer)
Mon âme, défends-toi du désir aveuglé
Qui d’un mouvement déréglé
Sous des fers éclatants te veut rendre asservie,
Et d’un sage conseil rejette le poison… (Continuer)
Laisser un CommentaireMarie, levezvous, ma jeune paresseuse :
Jà la gaie alouette au ciel a fredonné,
Et jà le rossignol doucement jargonné,
Dessus l’épine assis, sa complainte … (Continuer)
Comme un astre luit sur la terre,
Sans que sa lumière s’altère
Aux feux obscurcis d’ici-bas ;
Ou, comme ces vagues lointaines,
Qui, jamais n’ont … (Continuer)
Ton sourire,
Françoise, est fluide d’enfance
Et le monde où tu vis encor mal éclairé,
Mais ton âme déjà luit dans sa ressemblance
Elle a … (Continuer)