Un fruit de chair se baigne en quelque jeune vasque,
(Azur dans les jardins tremblants) mais hors de l’eau,
Isolant la torsade aux puissances de … (Continuer)
Laisser un CommentaireUn fruit de chair se baigne en quelque jeune vasque,
(Azur dans les jardins tremblants) mais hors de l’eau,
Isolant la torsade aux puissances de … (Continuer)
Laisser un CommentaireHumblement, tendrement, sur le tombeau charmant
Sur l’insensible monument,
Que d’ombres, d’abandons, et d’amour prodiguée,
Forme ta grâce fatiguée,
Je meurs, je meurs sur toi, … (Continuer)
Laisser un CommentaireJ’ai, quelque jour, dans l’Océan,
(mais je ne sais plus sous quels cieux),
Jeté, comme offrande au néant,
Tout un peu de vin précieux…
Qui … (Continuer)
À Francis Vielé-Griffin.
Été, roche d’air pur, et toi, ardente ruche,
Ô mer! Éparpillée en mille mouches sur
Les touffes d’une chair fraîche comme une … (Continuer)
Laisser un Commentaire… Je compose en esprit, sous les myrtes, Orphée
L’Admirable!… le feu, des cirques purs descend;
Il change le mont chauve en auguste trophée
D’où … (Continuer)
Laisser un CommentaireA Henri Ghéon.
Parmi l’arbre, la brise berce
La vipère que je vêtis;
Un sourire, que la dent perce
Et qu’elle éclaire d’appétits,
Sur le … (Continuer)
Laisser un CommentaireDe sa profonde mère, encor froide et fumante,
Voici qu’au seuil battu de tempêtes, la chair
Amèrement vomie au soleil par la mer,
Se délivre … (Continuer)
Laisser un CommentaireA Francis De Miomandre.
Quelle, et si fine, et si mortelle,
Que soit ta pointe, blonde abeille,
Je n’ai, sur ma tendre corbeille,
Jeté qu’un … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa lune mince verse une lueur sacrée,
Toute une jupe d’un tissu d’argent léger,
Sur les bases de marbre où vient l’Ombre songer
Que suit … (Continuer)
Laisser un CommentaireNi vu ni connu
Je suis le parfum
Vivant et défunt
Dans le vent venu!
Ni vu ni connu
Hasard ou génie?
À peine venu… (Continuer)
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