Le
Vestiaire
Le
Portemanteau
La lumière
Au mur des têtes inclinées
Un rayon d’électricité
La voix qui chante
Un cœur qui s’est ouvert
Dans la … (Continuer)
Laisser un CommentaireUne sélection de poèmes de Pierre Reverdy (1889-1960), poète français majeur né à Narbonne, mort à Solesmes. Pionnier du cubisme et du surréalisme, son œuvre a marqué la poésie moderne française.
Le
Vestiaire
Le
Portemanteau
La lumière
Au mur des têtes inclinées
Un rayon d’électricité
La voix qui chante
Un cœur qui s’est ouvert
Dans la … (Continuer)
Laisser un CommentaireApres un voyage trop long et des insomnies prolongées, seule la plus grande joie vient t’attendre.
Sans aucune certitude ni garantie avec tous les efforts, … (Continuer)
Dans la ville il n’y a plus personne
On monte à travers les bois
Quelques-uns tombent
Et ceux qui arriveront trop tard
C’est toi
C’est … (Continuer)
Au bord du toit
Un nuage danse
Trois gouttes d’eau pendent à
la gouttière
Trois étoiles
Des diamants
Et vos yeux brillants qui regardent
Le … (Continuer)
Laisser un CommentaireDans le coin où elle s’est blottie
Tristesse ou vide
Le vent tourne
On entend un cri
Personne n’a voulu se plaindre
Mais la lampe … (Continuer)
Laisser un CommentaireQue veux-tu que je devienne
Je me sens mourir
Secours-moi
Ah
Paris… le
Pont
Neuf
Je reconnais la ville
Un peu jouir
Un peu pleurer… (Continuer)
Les yeux à peine ouverts
La main sur l’autre rive
Le ciel
Et tout ce qui arrive
La porte s’inclinait
Une tête dépasse
Dans le … (Continuer)
Laisser un CommentaireSa face écarlate illumine la chambre où il est seul. Seul avec son portrait qui bouge dans la glace. Est-ce bien lui? Serait-ce l’œil d’un … (Continuer)
Laisser un CommentaireNi eux ni rien pas même
Lui
Des marches parmi les branches qui escaladent les
nuages
On ne peut pas trouver le numéro ni la … (Continuer)
Laisser un CommentaireDans la rue où personne ne passe
Entre le numéro et le numéro
Quelque temps qu’il fasse
Tout ce jour-là et les suivants
Je suis … (Continuer)
Laisser un CommentairePlus je crie plus le vent est fort
La porte se ferme
Emporte la fourrure et les plumes
Et le papier qui vole
Je cours … (Continuer)
Comment vivre ailleurs que près de ce grand arbre blanc de cette lampe
Le vieillard a jeté une à une ses dents d’ivoire
A quoi … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe ne peux plus regarder ton visage
Où te caches-tu
La maison s’est évanouie parmi les nuages
Et tu as quitté la dernière fenêtre
Où … (Continuer)
Mon doigt saigne
Je t’écris
Avec
Le règne des vieux rois est fini
Le rêve est un jambon
Lourd
Qui pend au plafond
Et la … (Continuer)
Le fil descend. Du haut du ciel le fil descend, lourd, droit, noir — descend sur le sommet de la tête nue — la tête … (Continuer)
Laisser un CommentaireAu milieu de cet attroupement il y a avec un enfant qui danse un homme qui soulève des poids. Ses bras tatoués de bleu prennent … (Continuer)
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