Tu le sais, inimitable fraise des bois
Comme un charbon ardent aux doigts de qui te cueille :
Leçons et rires buissonniers
Ne se commandent … (Continuer)
Tu le sais, inimitable fraise des bois
Comme un charbon ardent aux doigts de qui te cueille :
Leçons et rires buissonniers
Ne se commandent … (Continuer)
Quand je suis au bord de la mer
Afin de rester toujours jeune
Comme Aphrodite je déjeune
De soleil et de lune dîne
je me … (Continuer)
Laisser un CommentaireAurore, à nul des coeurs qui saignent,
Ne vas recommander l’école
Où buissonnière on nous enseigne
La douleur plutôt que les jeux.
Un jour, en … (Continuer)
Laisser un CommentaireCette rose qui meurt dans un vase d’argile
Attriste mon regard,
Elle paraît souffrir et son fardeau fragile
Sera bientôt épars.
Les pétales tombés dessinent … (Continuer)
Laisser un CommentaireBouquet de flammes (que délie
Des faveurs l’innocent larcin)
Où se noyer en compagnie
Des colombes de la Saint Jean.
De l’eau qui ne peut … (Continuer)
Laisser un CommentaireNous à qui ne suffisaient pas nos deux mains
Pour presser vos grappes collines du Rhin
Comme d’un sein vierge on espère le lait
Aujourd’hui … (Continuer)
À ma place
Le lecteur et sa gracieuse compagne
Aux abeilles feraient la chasse
Mon amour Le pot de miel est à moitié vide
Un … (Continuer)
Laisser un CommentaireAu regard frivoles les nues
Se refusent selon la nuit
Vers l’aurore sans plus de bruit
Dormez chère étoile ingénue
Sous les arbres de l’avenue… (Continuer)
Laisser un CommentaireUn cygne mort ne se remarque
Parmi l’écume au bord du lac.
Léda te voilà bien vengée,
Pense qu’un cygne au tien pareil
D’une aïeule … (Continuer)
Audessous de zéro
Les visages sont muets
Tant mieux tu ne saurais plus dire Au revoir
La Belle saison est ailleurs On s’y fait
Et … (Continuer)
Vénus non seulement me livre
Ses secrets, mais ceux de sa mère :
Jadis je regardais la mer
Comme regarderait les livres
Un enfant qui … (Continuer)
Laisser un CommentaireLes seins du marbre, mes fruits lourds
Arrondis par le lourd soleil,
S’ils rougissent, tout est perdu,
Je les nomme pommes d’amour.
C’est, entier, un … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ Georges Auric
Marronniers, ainsi que l’yeuse
Quels arbres, ombrelles rieuses,
Ne se déploieraient pour fêter
Le retour du prodigue été !
L’un nous ogre … (Continuer)
Laisser un CommentaireAh les cornes : c’est un colimaçon.
Paresseuse, si vous voulez nous plaire,
Désormais sachez mieux votre leçon,
Nous ne sommes plus ces mauvais garçons… (Continuer)
Laisser un CommentaireIl perd ses plumes perd ses larmes
Comme un coeur se vide de larmes
L’arrosoir a perdu ses plumes
Éventail au soleil fané
Loterie des … (Continuer)
Après d’Avril la verte douche,
Dans ton hamac, dans ton étoile,
Au milieu du ciel tu te sèches.
Recommence ! d’une fessée,
Insolente, récompensée,
Sous … (Continuer)
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