Oh la toujours plus rase solitude
Des larmes qui montent aux cimes.
Quand se déclare la débâcle
Et qu’un vieil aigle sans pouvoir
Voit revenir … (Continuer)
Laisser un CommentaireOh la toujours plus rase solitude
Des larmes qui montent aux cimes.
Quand se déclare la débâcle
Et qu’un vieil aigle sans pouvoir
Voit revenir … (Continuer)
Laisser un CommentaireTes dix-huit ans réfractaires à l’amitié, à la malveillance, à la sottise des poètes de Paris ainsi qu’au ronronnement d’abeille stérile de ta famille ardennaise … (Continuer)
Laisser un CommentaireIls sont venus, les forestiers de l’autre versant, les inconnus de nous, les rebelles à nos usages.
Ils sont venus nombreux.
Leur troupe est apparue … (Continuer)
Laisser un CommentaireSi tu cries, le monde se tait: il s’éloigne avec ton propre monde.
Donne toujours plus que tu ne peux reprendre. Et oublie. Telle est … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe visage nuptial (1944)
À présent disparais, mon escorte, debout dans la distance;
La douceur du nombre vient de se détruire.
Congé à vous, mes … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe Marteau sans maître, 1934
Commune présence
Tu es pressé d’écrire,
Comme si tu étais en retard sur la vie.
S’il en est ainsi fais … (Continuer)
Laisser un CommentaireMontagne des grands abusés,
Au sommet de vos tours fiévreuses
Faiblit la dernière clarté.
Rien que le vide et l’avalanche,
La détresse et le regret!… (Continuer)
Laisser un CommentaireDans les rues de la ville il y a mon amour. Peu importe où il va dans le temps divisé. Il n’est plus mon amour, … (Continuer)
Laisser un CommentaireJ’habite une douleur
Le poème pulvérisé (1945-1947)
Ne laisse pas le soin de gouverner ton coeur à ces tendresses parentes de l’automne auquel elles empruntent … (Continuer)
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