Sur le bord du chemin, que j’aime à voir l’oiseau,
Fuyant le nid léger que balance l’ormeau,
Prendre le grain qu’il porte à sa couvée … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Sur le bord du chemin, que j’aime à voir l’oiseau,
Fuyant le nid léger que balance l’ormeau,
Prendre le grain qu’il porte à sa couvée … (Continuer)
Eh quoi ! prier déjà…. tu bégayes encore ;
De la vie, ici-bas, tu n’as vu que l’aurore ;
Pour loi, le beau printemps n’est … (Continuer)
I.
Le ciel est calme et pur, la terre lui ressemble ;
Elle offre avec orgueil au soleil radieux
L’essaim tourbillonnant de ses enfants heureux.… (Continuer)
1835.
Seigneur ! vous êtes bien le Dieu de la puissance.
Que deviennent sans vous ces hommes qu’on encense ?
Si d’un souffle divin vous … (Continuer)
Ô petite hirondelle
Qui bats de l’aile,
Et viens contre mon mur,
Comme abri sûr,
Bâtir d’un bec agile
Un nid fragile,
Dis-moi, pour vivre … (Continuer)
Élégie.
J’ai mendié seize ans le pain de chaque jour,
Ce pain noir, accordé, refusé tour à tour ;
Je bois l’eau du torrent, je … (Continuer)
Oh ! comment retenir cet ange qui s’enfuit ?
Comme il est sombre et pâle ! il ressemble à la nuit.
Comme il s’envole vite … (Continuer)
ODE.
(Couronnée aux jeux floraux.)
Des longs ennuis du jour quand le soir me délivre,
Poète aux chants divins, j’ouvre en rêvant ton livre,
Je … (Continuer)
L’ANGE DE POÉSIE.
Éveille-toi, ma sœur, je passe près de toi !
De mon sceptre divin tu vas subir la loi ;
Sur toi, du … (Continuer)
Cygnes au blanc plumage, au port majestueux,
Est-il vrai, dites-moi, qu’un chant harmonieux,
De vos jours écoulés rompant le long silence,
Lorsque va se briser … (Continuer)
« Du vin ! Nous sommes trois ; du vin, allons, du vin !
Hôtesse ! nous voulons chanter jusqu’au matin.
As-tu toujours ta vigne … (Continuer)
À une dame châtelaine.
(Pour la construction d’une serre.)
Pauvre fleur, qu’un rayon du soleil fit éclore,
Pauvre fleur, dont les jours n’ont qu’une courte … (Continuer)
Ma sœur, écoute-moi ! je vais t’ouvrir mon cœur…
Mais détourne un instant ton regard scrutateur ;
Pour mes quinze printemps, ne sois pas trop … (Continuer)
Volez, nobles coursiers, franchissez la distance !
Pour le prix disputé, luttez avec constance !
Sous un soleil de feu, le sol est éclatant ;… (Continuer)
Je suis l’astre des nuits. Je brille, pâle et blanche,
Sur la feuille qui tremble au sommet d’une branche,
Sur le ruisseau qui dort, sur … (Continuer)
Mère, quel doux chant me réveille ?
Minuit ! c’est l’heure où l’on sommeille.
Qui peut, pour moi, venir si tard
Veiller et chanter à … (Continuer)