Horreur! à l’heure même où, du poteau qui bouge
Rajustant les étais avec un soin jaloux,
Ces êtres, dans le bruit des marteaux et des … (Continuer)
Laisser un CommentaireUne sélection de poèmes de Théodore de Banville (1823-1891), poète du bonheur, auteur des Odes funambulesques et Les Exilés, né à Moulins, mort à Paris.
Horreur! à l’heure même où, du poteau qui bouge
Rajustant les étais avec un soin jaloux,
Ces êtres, dans le bruit des marteaux et des … (Continuer)
Laisser un CommentaireODE RÉCITÉE AU THÉATRE DES NATIONS par MADAME MARIE LAURENT le 13 octobre 1879
O peuple frissonant, ému comme une femme !
Heureux de savourer … (Continuer)
Laisser un CommentaireToi qui tins la lyre et le glaive,
Et qui marchais, rouge d’éclairs,
Dans l’action et dans le rêve,
O rude forgeron des vers
Qui … (Continuer)
Laisser un CommentaireChansons sur des airs connus
Les belles filles
Air: Giroflé-Girofla
– Oh çà, les belles filles,
Qu’on s’en vienne avec nous!
Laissez là vos aiguilles,… (Continuer)
Laisser un CommentaireLe dieu Désir, l’archer sauvage
Qui rit, sur un gouffre penché,
A longtemps dans un dur servage
Tenu la tremblante Psyché.
Bien longtemps il l’a … (Continuer)
À LA MANIÈRE DE CLÉMENT MAROT
I
CONGÉ
Çà, qu’on me laisse, Amour, petit maraud.
Va ! donne-moi la paix ; je veux écrire,
À … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe temps où j’accorde ces rimes
Est meilleur pour le financier
Que pour les vertus magnanimes.
Je regarde négocier
Au milieu d’un luxe princier
Tous … (Continuer)
Laisser un CommentaireLes Dieux, pour lui laisser le vin, buvaient du fiel.
L’aigle à ses pieds veillait, ayant quitté son aire ;
Le lion devant lui se … (Continuer)
Laisser un CommentaireUn cavalier disait à Milton : « Je vous plains !
Car vos yeux, de colère et d’espérance pleins,
Qui déchiraient la voûte où le … (Continuer)
Laisser un CommentaireOde récitée au Théâtre de l’Odéon le 15 janvier 1851
I
Un rideau devant lequel sont groupées les trois Muses de la Poésie, de la … (Continuer)
Sur ton front brun comme la nuit,
Maître, aucun fil d’argent ne luit,
Et nul Décembre sacrilège,
Ne met sa neige.
Pourtant, dans ton labeur … (Continuer)
Ô larmes de mon cœur, lorsque la bien-aimée
Fut morte, et que sa tombe, hélas ! fut refermée,
Quand tout fut bien fini, quand je … (Continuer)
Laisser un CommentaireQuand Juin cruel nous brûle en ses autodafés,
Paris boit devant les cafés.
Lorsque le ciel, criblé de feux, mêle en ses voiles
Les becs … (Continuer)
Laisser un CommentaireÔ colombe qui meurs dans le ciel azuré,
Rouvre un instant les yeux, mourante aux blanches ailes !
Le vautour qui te tue expire, déchiré… (Continuer)
Laisser un CommentaireElle cueille des marguerites et les effeuille pour s’assurer de l’amour de Loys.
Théophile Gautier, Giselle, acte I, scène IV.
Mon Loys, j’ai sous vos … (Continuer)
Laisser un CommentaireLentement, vers la fin du jour,
Une voix murmurait dans l’ombre:
Amour! Amour! Amour! Amour!
Au milieu de la forêt sombre.
Quelqu’un disait: L’essentiel
N’est … (Continuer)
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