Il chante encor, l’essaim railleur des fées,
Bien protégé par l’épine et le houx
Que le zéphyr caresse par bouffées.
Diane aussi, l’épouvante des loups,… (Continuer)
Laisser un CommentaireUne sélection de poèmes de Théodore de Banville (1823-1891), poète du bonheur, auteur des Odes funambulesques et Les Exilés, né à Moulins, mort à Paris.
Il chante encor, l’essaim railleur des fées,
Bien protégé par l’épine et le houx
Que le zéphyr caresse par bouffées.
Diane aussi, l’épouvante des loups,… (Continuer)
Laisser un CommentaireTout est ravi quand vient le Jour
Dans les cieux flamboyants d’aurore.
Sur la terre en fleur qu’il décore
La joie immense est de retour.… (Continuer)
Laisser un CommentaireToi qu’au beau temps appelé Renaissance
Un statuaire, habile ciseleur,
En ce château fit par réminiscence
Des anciens Grecs, vierge à la lèvre en fleur,… (Continuer)
Laisser un CommentaireEt Dionysos aux cheveux d’or épousa la blonde Ariadnè, fille de Minos, et il l’épousa dans la fleur de la jeunesse, et le Kroniôn la … (Continuer)
Laisser un CommentaireAmi Paul, que j’ai vu souvent
Baigné par les feux électriques
D’un soleil flambant et mouvant,
Je t’adjure en ces vers lyriques.
Il ne faut … (Continuer)
J’adore assez le grand Lama,
Mais j’aime mieux La Madelène.
Avec sa robe qu’on lama
J’adore assez le grand Lama.
Mais La Madelène en l’âme … (Continuer)
Laisser un CommentaireA Charles Asselineau
Mil huit cent trente! Aurore
Qui m’éblouis encore,
Promesse du destin,
Riant matin!
Aube où le soleil plonge!
Quelquefois un beau songe… (Continuer)
Laisser un CommentaireQue ton feu me dévore !
Plaisir ou bien effroi,
Tout me ravit ; j’adore
Tout ce qui vient de toi,
Et la joie ou … (Continuer)
Laisser un CommentaireA José-Maria de Heredia
O vous pour qui toujours le ciel s’irradia,
Véronèse des mots flambants, Heredia,
Vous que la Muse fête et suit d’un … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ mon cher Philoxène Boyer
Qui a ressuscité la grande figure de Sappho dans un poème impérissable.
Près du flot glorieux qui baise Mitylène,
Marchent, … (Continuer)
Laisser un CommentaireQuand le froid de la mort enveloppe cette
argile souffrante, où va l’âme immortelle ?
Byron.
Il est un triste lac à l’eau tranquille et … (Continuer)
Nous bénissons la douce Nuit,
Dont le frais baiser nous délivre.
Sous ses voiles on se sent vivre
Sans inquiétude et sans bruit.
Le souci … (Continuer)
Chanter, mais dans le soir sonore
Et pour ses amis seulement,
Fuir le bruit qui nous déshonore
Et le vil applaudissement ;
Brûler, mais conserver … (Continuer)
Oh! sur le divin boulevard,
Qui de l’univers est la moelle
Et qu’aime le Journal bavard
Que de chapeaux tuyau de poêle!
Devant le soleil, … (Continuer)
Quand les cieux taciturnes
Sur nous vident leurs urnes
Et dans ces durs assauts
Pleuvent à seaux,
Les foules éblouies
Portent des parapluies
Montrant, en … (Continuer)
Laisser un CommentaireDans ce Paris, cul-de-sac
Inventé par feu Balzac,
Le plus humble mammifère
Nous parle d’Influenza.
Une chanson de Rosa
Ferait bien mieux notre affaire.
Sur … (Continuer)