Sur mes traits, je le sais, à peine si les grâces
Vont laisser en fuyant quelques légères traces,
Que l’art le plus savant aurait peine … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Sur mes traits, je le sais, à peine si les grâces
Vont laisser en fuyant quelques légères traces,
Que l’art le plus savant aurait peine … (Continuer)
Loin du méchant qui sut lui plaire
Ismène goûtait le repos :
Elle avait retrouvé sa mère ;
Elle avait oublié ses maux.
Tandis qu’au … (Continuer)
Laisser un CommentaireL’autre matin, sous la fraîche coudrette,
Le beau Colin, loin des regards jaloux,
S’imaginait trouver encore Lisette
Une heure au moins après le rendez-vous.
« … (Continuer)
Laisser un CommentaireD’où vient ce tourment plein de charmes,
Qui trouble mon cœur abattu ?
Je cherche, et je n’ai rien perdu ;
Mais pour qui donc … (Continuer)
Tout n’est qu’amour dans la nature
Pour un cœur enflammé d’amour :
Le printemps nous rend la verdure
Pour offrir un trône à l’amour ;… (Continuer)
Le jour de sa fête
Dans un deuil que mon cœur révère,
Pour ta fête en ce jour, ô mon vertueux père !
Je n’offre … (Continuer)
D’amour, dans son heureux printemps
Que femme soit le doux salaire ;
Que femme, au midi de ses ans,
D’amour écoute la prière :
Mais … (Continuer)
Quand la jeunesse fuit loin d’un monde infidèle,
Il faut aimer pourtant, car aimer est un bien.
En oubliant qu’elle fut belle,
Femme a vraiment … (Continuer)
Je veux de ma Caroline
Faire le gentil portrait,
Et que chacun le devine
Sans deviner qui l’a fait.
L’amour embellit, pour plaire,
L’objet qu’il … (Continuer)
A Eulalie
Tu quittes ta douce patrie ;
Mais c’est pour suivre un tendre époux :
Qu’importe où s’écoule la vie,
Lorsque l’amour est avec … (Continuer)
Aux charmes que sur toi nature a su répandre
Quand le sort ajouta les trésors de Plutus,
Sans doute par méprise il dotait les vertus … (Continuer)
Sans crainte, mon Annette, ah ! revoyons le jour.
En regardant ton fils que ta peine s’oublie.
Comment ne pas chérir sa vie
Quand elle … (Continuer)
Ma fille ! … Je t’appelle, hélas ! Et tu n’es plus !
Loin du climat qui te vit naître,
Comme une tendre fleur, tu … (Continuer)
Rêvant aux métamorphoses
Que les dieux faisaient jadis :
« Belles se changeaient en roses,
Disait l’aimable Doris.
Heureux temps pour un cœur tendre !… (Continuer)