Ô sainte horreur du mal ! Devoir funèbre ! Ô haine !
Quand Virgile suspend la chèvre au blanc troëne ;
Quand Lucrèce revêt de … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Une sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
Ô sainte horreur du mal ! Devoir funèbre ! Ô haine !
Quand Virgile suspend la chèvre au blanc troëne ;
Quand Lucrèce revêt de … (Continuer)
Il est temps que je me repose ;
Je suis terrassé par le sort.
Ne me parlez pas d’autre chose
Que des ténèbres où l’on … (Continuer)
Elle est la terre, elle est la plaine, elle est le champ.
Elle est chère à tous ceux qui sèment en marchant ;
Elle offre … (Continuer)
[…] La flagellation du Christ n’est pas finie.
Tout ce qu’il a souffert dans sa lente agonie,
Au mont des Oliviers et dans les carrefours,… (Continuer)
C’est à coups de canon qu’on rend le peuple heureux.
Nous sommes revenus de tous ces grands mots creux :
– Progrès, fraternité, mission de … (Continuer)
I.
Par ses propres fureurs le Maudit se dévoile ;
Dans le démon vainqueur on voit l’ange proscrit ;
L’anathème éternel, qui poursuit son étoile, … (Continuer)
Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame,
Viens ! ne te lasse pas de mêler à ton âme
La campagne, les bois, … (Continuer)
Qu’était-ce que l’enfant ? qu’était-ce que la mère ?
Je l’ignorais. C’était la saison éphémère
Qui nous enchante ; et n’a qu’un défaut, durer peu, … (Continuer)
Que le sort, quel qu’il soit, vous trouve toujours grande !
Que demain soit doux comme hier !
Qu’en vous, ô ma beauté, jamais ne … (Continuer)
Oh ! de mon ardente fièvre
Un baiser peut me guérir.
Laisse ma lèvre à ta lèvre
S’attacher pour y mourir.
Ta bouche, c’est le … (Continuer)
Laisser un CommentaireÀ quoi pensent ces flots, qui baisent sans murmure
Les flancs de ce rocher luisant comme une armure ?
Quoi donc ! n’ont-ils pas vu … (Continuer)
En guerre les guerriers ! Mahomet ! Mahomet !
Les chiens mordent les pieds du lion qui dormait,
Ils relèvent leur tête infâme.
Ecrasez, ô … (Continuer)
Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin ;
Je l’attendais ainsi qu’un rayon qu’on … (Continuer)
Mes vers fuiraient, doux et frêles,
Vers votre jardin si beau,
Si mes vers avaient des ailes,
Des ailes comme l’oiseau.
Il voleraient, étincelles,
Vers … (Continuer)
Oh ! je fus comme fou dans le premier moment,
Hélas ! et je pleurai trois jours amèrement.
Vous tous à qui Dieu prit votre … (Continuer)
Lorsque l’enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes … (Continuer)