Qui donne au pauvre prête à Dieu.
Victor HUGO.
Dans vos fêtes d’hiver, riches, heureux du monde,
Quand le bal tournoyant de ses feux vous … (Continuer)
Une sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
Qui donne au pauvre prête à Dieu.
Victor HUGO.
Dans vos fêtes d’hiver, riches, heureux du monde,
Quand le bal tournoyant de ses feux vous … (Continuer)
HARMODIUS
La nuit vient. Vénus brille.
L’ÉPÉE
Harmodius, c’est l’heure !
LA BORNE DU CHEMIN
Le tyran va passer.
HARMODIUS
J’ai froid, rentrons.
UN TOMBEAU … (Continuer)
Laisser un CommentaireQuand cette noble femme eut touché la frontière,
Proscrite et fugitive, hélas ! mais reine encor,
Emportant son grand coeur, sa tristesse humble et fière, … (Continuer)
Sa mère en le mettant au monde s’en alla.
Sombre distraction du sort ! Pourquoi cela ?
Pourquoi tuer la mère en laissant l’enfant vivre … (Continuer)
VI.
Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées ;
Demain viendra l’orage, et le soir, et la nuit ;
Puis l’aube, et ses … (Continuer)
L’amour, panique
De la raison,
Se communique
Par le frisson.
Laissez-moi dire,
N’accordez rien.
Si je soupire,
Chantez, c’est bien.
Si je demeure,
Triste, à … (Continuer)
Les turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil.
Chio, l’île des vins, n’est plus qu’un sombre écueil,
Chio, qu’ombrageaient les charmilles,
Chio, qui … (Continuer)
Un immense frisson émeut la plaine obscure.
C’est l’heure où Pythagore, Hésiode, Epicure,
Songeaient ; c’est l’heure où, las d’avoir, toute la nuit,
Contemplé l’azur … (Continuer)
I
Aux champs, compagnons et compagnes !
Fils, j’élève à la dignité
De géorgiques les campagnes
Quelconques où flambe l’été !
Flamber, c’est là toute … (Continuer)
Laisser un CommentaireFuis l’éden des anges déchus ;
Ami, prends garde aux belles filles ;
Redoute à Paris les fichus,
Redoute à Madrid les mantilles.
Tremble pour … (Continuer)
Laisser un CommentaireJeune homme ! je te plains ; et cependant j’admire
Ton grand parc enchanté qui semble nous sourire,
Qui fait, vu de ton seuil, le … (Continuer)
N’attendez pas de moi que je vais vous donner
Des raisons contre Dieu que je vois rayonner ;
La nuit meurt, l’hiver fuit ; maintenant … (Continuer)
C’était la première soirée
Du mois d’avril.
Je m’en souviens, mon adorée.
T’en souvientil ?
Nous errions dans la ville immense,
Tous deux, sans bruit,… (Continuer)
VII.
Quand sur votre poitrine il jeta sa médaille,
Ses rubans et sa croix, après cette bataille
Et ce coup de lacet,
Ô soldats dont … (Continuer)
IL semblait grelotter, car la bise était dure.
C’était, sous un amas de rameaux sans verdure,
Une pauvre statue, au dos noir, au pied vert, … (Continuer)
Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux.
Comme le soleil fait serein ou pluvieux
L’azur dont il est l’âme et que … (Continuer)