Catégorie : Victor Hugo

Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites.
Tout peut sortir d’un mot qu’en passant vous perdîtes.
Tout, la haine et le deuil ! … (Continuer)

N’aije pas pour toi, belle juive,
Assez dépeuplé mon sérail ?
Souffre qu’enfin le reste vive.
Fautil qu’un coup de hache suive
Chaque coup de … (Continuer)

Enfants ! Oh ! revenez ! Tout à l’heure, imprudent,
Je vous ai de ma chambre exilés en grondant,
Rauque et tout hérissé de paroles … (Continuer)

C’était fini. Splendide, étincelant, superbe,
Luisant sur la cité comme la faulx sur l’herbe,
Large acier dont le jour faisait une clarté,
Ayant je ne … (Continuer)

Anacréon, poète aux ondes érotiques
Qui filtres du sommet des sagesses antiques,
Et qu’on trouve à mi-côte alors qu’on y gravit,
Clair, à l’ombre, épandu … (Continuer)

Here’s a sigh to those who love me,
And a smile to those who hate ;
And whatever sky’s above me,
Here’s a heart for … (Continuer)

Le bal champêtre est sous la tente.
On prend en vain des airs moqueurs ;
Toute une musique flottante
Passe des oreilles aux coeurs.

On … (Continuer)

Tout enfant, tu dormais près de moi, rose et fraîche,
Comme un petit Jésus assoupi dans sa crèche ;
Ton pur sommeil était si calme … (Continuer)

Parfois, lorsque tout dort, je m’assieds plein de joie
Sous le dôme étoilé qui sur nos fronts flamboie ;
J’écoute si d’en haut il tombe … (Continuer)

I.

Sur la terre, tantôt sable, tantôt savane,
L’un à l’autre liés en longue caravane,
Echangeant leur pensée en confuses rumeurs,
Emmenant avec eux les … (Continuer)

Il est pour tout mortel, soit que, loin de l’envie,
Un astre aux rayons purs illumine sa vie ;
Soit qu’il suive à pas lents … (Continuer)

IV.

Maintenant, largesse au prétoire !
Trinquez, soldats ! et depuis quand
A-t-on peur de rire et de boire ?
Fête aux casernes ! fête … (Continuer)

Voici le trou, voici l’échelle. Descendez.
Tandis qu’au corps de garde en face on joue aux dés
En riant sous le nez des matrones bourrues, … (Continuer)

Aux environs de Paris

Midi chauffe et sèche la mousse ;
Les champs sont pleins de tambourins ;
On voit dans une lueur douce
Des … (Continuer)

On croyait dans ces temps où le pâtre nocturne,
Loin dans l’air, au-dessus de son front taciturne,
Voyait parfois, témoin par l’ombre recouvert,
Dans un … (Continuer)

Ô France, quoique tu sommeilles,
Nous t’appelons, nous les proscrits !
Les ténèbres ont des oreilles,
Et les profondeurs ont des cris.

Le despotisme âpre … (Continuer)