Mon père, ce héros au sourire si doux,
Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous
Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille,… (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Une sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
Mon père, ce héros au sourire si doux,
Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous
Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille,… (Continuer)
Oh ! des champs sont fatals, des charniers sont célèbres,
Des plaines et des mers sont sanglantes, parfois
Des vallons ont la marque effroyable des … (Continuer)
Mon vers, s’il faut te le redire,
On veut te griser dans les bois.
Les faunes ont caché ta lyre
Et mis à sa place … (Continuer)
Ce siècle a la forme
D’un monstrueux char.
Sa croissance énorme
Sous un nain césar,
Son air de prodige,
Sa gloire qui ment,
Mêlent le … (Continuer)
Approchez-vous. Ceci, c’est le tas des dévots.
Cela hurle en grinçant un benedicat vos ;
C’est laid, c’est vieux, c’est noir. Cela fait des gazettes. … (Continuer)
PAUVRE femme ! son lait à sa tête est monté.
Et, dans ses froids salons, le monde a répété,
Parmi les vains propos que chaque … (Continuer)
(Mort le 31 décembre 1829.)
Hélas ! que fais-tu donc, ô Rabbe, ô mon ami,
Sévère historien dans la tombe endormi !
Je l’ai pensé … (Continuer)
Laisser un CommentaireAmi, j’ai quitté vos fêtes.
Mon esprit, à demi-voix,
Hors de tout ce que vous faites,
Est appelé par les bois.
J’irai, loin des murs … (Continuer)
Laisser un CommentaireI.
L’aurore s’allume ;
L’ombre épaisse fuit ;
Le rêve et la brume
Vont où va la nuit ;
Paupières et roses
S’ouvrent demi-closes ; … (Continuer)
Si vous n’avez rien à me dire,
Pourquoi venir auprès de moi ?
Pourquoi me faire ce sourire
Qui tournerait la tête au roi ?… (Continuer)
Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche,
Comme à Pétrarque apparaissait Laura,
Et qu’en passant ton haleine me touche…
Soudain ma bouche… (Continuer)
On est Tibère, on est Judas, on est Dracon ;
Et l’on a Lambessa, n’ayant plus Montfaucon.
On forge pour le peuple une chaîne ; … (Continuer)
(II)
Ineffable lever du premier rayon d’or,
Du jour éclairant tout sans rien savoir encor!
O matin des matins ! amour ! joie effrénée
De … (Continuer)
Ces âmes que tu rappelles,
Mon coeur, ne reviennent pas.
Pourquoi donc s’obstinentelles,
Hélas ! à rester làbas ?
Dans les sphères éclatantes,
Dans l’azur … (Continuer)
Quand la lune apparaît dans la brume des plaines,
Quand l’ombre émue a l’air de retrouver la voix,
Lorsque le soir emplit de frissons et … (Continuer)
Apportez vos chaudrons, sorcières de Shakespeare,
Sorcières de Macbeth, prenez-moi tout l’empire,
L’ancien et le nouveau ; sur le même réchaud
Mettez le gros Berger … (Continuer)