V.
Quelquefois, sous les plis des nuages trompeurs,
Loin dans l’air, à travers les brèches des vapeurs
Par le vent du soir remuées,
Derrière les … (Continuer)
Une sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
V.
Quelquefois, sous les plis des nuages trompeurs,
Loin dans l’air, à travers les brèches des vapeurs
Par le vent du soir remuées,
Derrière les … (Continuer)
Puisque ce monde existe, il sied qu’on le tolère.
Sachons considérer les êtres sans colère.
Cet homme est le bourgeois du siècle où nous vivons. … (Continuer)
Amor de mi pecho,
Pecho de mi amor !
Arbol, que has hecho,
Que has hecho del flor ?
ROMANCE.
Avant que mes chansons aimées, … (Continuer)
Laisser un CommentaireCette nuit-là
Trois amis l’entouraient. C’était à l’Elysée.
On voyait du dehors luire cette croisée.
Regardant venir l’heure et l’aiguille marcher,
Il était là, pensif … (Continuer)
Oh ! pour le reste de ta vie,
Qu’on nous plaigne ou qu’on nous envie,
Tant que nos coeurs se comprendront,
Puisse une sereine pensée, … (Continuer)
Ami Z, tu m’es présent en cette solitude.
Quand le ciel, mon problème, et l’homme, mon étude,
Quand le travail, ce maître auguste et sérieux, … (Continuer)
Ô ville, tu feras agenouiller l’histoire.
Saigner est ta beauté, mourir est ta victoire.
Mais non, tu ne meurs pas. Ton sang coule, mais ceux… (Continuer)
Viens, mon George. Ah ! les fils de nos fils nous enchantent,
Ce sont de jeunes voix matinales qui chantent.
Ils sont dans nos logis … (Continuer)
Ô Virgile ! ô poète ! ô mon maître divin !
Viens, quittons cette ville au cri sinistre et vain,
Qui, géante, et jamais ne … (Continuer)
LE VIEUX MONDE
Ô flot, c’est bien. Descends maintenant. Il le faut.
Jamais ton flux encor n’était monté si haut.
Mais pourquoi donc estu si … (Continuer)
Laissez. Tous ces enfants sont bien là. Qui vous dit
Que la bulle d’azur que mon souffle agrandit
A leur souffle indiscret s’écroule ?
Qui … (Continuer)
Les mères ont senti tressaillir leurs entrailles.
Les lourds caissons chargés de boîtes à mitrailles
Courent, et l’on dirait qu’ils bondissent joyeux.
Le peuple de … (Continuer)
Et Jeanne à Mariette a dit : Je savais bien
Qu’en répondant : c’est moi, papa ne dirait rien.
Je n’ai pas peur de lui … (Continuer)
I.
Je suis triste quand je vois l’homme.
Le vrai décroît dans les esprits.
L’ombre qui jadis noya Rome
Commence à submerger Paris.
Les rois … (Continuer)
Laisser un CommentaireOui, je suis le rêveur ; je suis le camarade
Des petites fleurs d’or du mur qui se dégrade,
Et l’interlocuteur des arbres et du … (Continuer)
Aux petits incidents il faut s’habituer.
Hier on est venu chez moi pour me tuer.
Mon tort dans ce pays c’est de croire aux asiles.… (Continuer)