Toi, vertu, pleure si je meurs !
ANDRÉ CHÉNIER.
Amis, un dernier mot ! et je ferme à jamais
Ce livre, à ma pensée étranger … (Continuer)
Une sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
Toi, vertu, pleure si je meurs !
ANDRÉ CHÉNIER.
Amis, un dernier mot ! et je ferme à jamais
Ce livre, à ma pensée étranger … (Continuer)
V.
Ce n’est pas à moi, ma colombe,
De prier pour tous les mortels,
Pour les vivants dont la foi tombe,
Pour tous ceux qu’enferme … (Continuer)
V.
Le nom grandit quand l’homme tombe ;
Jamais rien de tel n’avait lui.
Calme, il écoutait dans sa tombe
La terre qui parlait de … (Continuer)
I.
Ô vous, mes vieux amis, si jeunes autrefois,
Qui comme moi des jours avez porté le poids,
Qui de plus d’un regret frappez la … (Continuer)
Jadis je vous disais : Vivez, régnez, Madame !
Le salon vous attend ! le succès vous réclame !
Le bal éblouissant pâlit quand vous … (Continuer)
Dansez, les petites filles,
Toutes en rond.
En vous voyant si gentilles,
Les bois riront.
Dansez, les petites reines,
Toutes en rond.
Les amoureux sous … (Continuer)
Jeanne était au pain sec dans le cabinet noir,
Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir,
J’allai voir la proscrite en pleine forfaiture,
Et … (Continuer)
I.
Bien ! pillards, intrigants, fourbes, crétins, puissances !
Attablez-vous en hâte autour des jouissances !
Accourez ! place à tous !
Maîtres, buvez, mangez, … (Continuer)
Tout frissonnant d’amour, d’extases, de splendeurs,
L’hymne universel chante au fond des profondeurs
Avec toutes les fleurs et toutes les étoiles ;
Il chante Dieu … (Continuer)
C’est bien ; puisqu’au sénat, puisqu’à la pourriture,
Tu poses, calme, altier, fier, ta candidature,
Puisque tu tends la main à l’argent de César,
Puisque … (Continuer)
Ô vous que votre âge défend,
Riez ! tout vous caresse encore.
Jouez ! chantez ! soyez l’enfant !
Soyez la fleur ; soyez l’aurore … (Continuer)
Du songe universel notre pensée est faite ;
Et le dragon était consulté du prophète,
Et jadis, dans l’horreur des antres lumineux,
Entr’ouvrant de leur … (Continuer)
Un vase, flanqué d’un masque,
En faïence de Courtrai,
Vieille floraison fantasque
Où j’ai mis un rosier vrai,
Sur ma fenêtre grimace,
Et, quoiqu’il soit … (Continuer)
Puisque nos heures sont remplies
De trouble et de calamités ;
Puisque les choses que tu lies
Se détachent de tous côtés ;
Puisque nos … (Continuer)
Laisser un CommentaireUn sculpteur, qui vivait voilà bien trois mille ans,
Fit pour le noir Pluton, qu’en leurs cachots brûlants
Les ombres ont horreur de voir au … (Continuer)
xx(Pour Jeanne seule.)
II.
Jeanne chante ; elle se penche
Et s’envole ; elle me plaît ;
Et, comme de branche en branche,
Va … (Continuer)