Catégorie : Victor Hugo

Le brouillard est froid, la bruyère est grise ;
Les troupeaux de boeufs vont aux abreuvoirs ;
La lune, sortant des nuages noirs,
Semble une … (Continuer)

Amor, ch’a null’ amato amar perdona,
Mi prese del costui placer si forte
Che, come vedi, ancor non m’abbandona.
DANTE.

Contempler dans son bain sans … (Continuer)

Le prêtre portera l’étole blanche et noire
Lorsque les saints flambeaux pour vous s’allumeront.
Et de leurs longs cheveux voilant leurs fronts d’ivoire
Les jeunes … (Continuer)

Mon doux Georges, viens voir une ménagerie
Quelconque, chez Buffon, au cirque, n’importe où ;
Sans sortir de Lutèce allons en Assyrie,
Et sans quitter … (Continuer)

Or, nous cueillions ensemble la pervenche.

Je soupirais, je crois qu’elle rêvait.
Ma joue à peine avait un blond duvet.
Elle avait mis son jupon … (Continuer)

Oh ! qui que vous soyez, qui voulez être maîtres,
Je vous plains. Vils, méchants, féroces, lâches, traîtres,
Vous périrez par ceux que vous croyez … (Continuer)

L’histoire a pour égout des temps comme les nôtres,
Et c’est là que la table est mise pour vous autres.
C’est là, sur cette nappe … (Continuer)

Ah ! vous voulez la lune ? Où ? dans le fond du puits ?
Non ; dans le ciel. Eh bien, essayons. Je ne … (Continuer)

Fuyez au mont inabordable !
Fuyez dans le creux du vallon !
Une nation formidable
Vient du côté de l’aquilon.

Ils auront de bons capitaines, … (Continuer)

Sitôt qu’Aminte fut venue
Nue,
Devant le dey qui lui semblait
Laid,

Plus blanche qu’un bloc de Carrare
Rare,
Elle défit ses cheveux blonds,
Longs.… (Continuer)

J’aime l’araignée et j’aime l’ortie,
Parce qu’on les hait ;
Et que rien n’exauce et que tout châtie
Leur morne souhait ;

Parce qu’elles sont … (Continuer)

Que t’importe, mon coeur, ces naissances des rois,
Ces victoires, qui font éclater à la fois
Cloches et canons en volées,
Et louer le Seigneur … (Continuer)

Le vieil esprit de nuit, d’ignorance et de haine
Des clous de Jésus-Christ forge à l’homme une chaîne,
Change l’enfant candide et pur en nain … (Continuer)

IX.

Oh ! bien loin de la voie
Où marche le pécheur,
Chemine où Dieu t’envoie !
Enfant, garde ta joie !
Lis, garde ta … (Continuer)

Le soleil, dans les monts où sa clarté s’étale,
Ajuste à son arc d’or sa flèche horizontale ;
Les hauts taillis sont pleins de biches … (Continuer)

Si je pouvais voir, ô patrie,
Tes amandiers et tes lilas,
Et fouler ton herbe fleurie,
Hélas !

Si je pouvais, mais, ô mon père,… (Continuer)