La querelle irritée, amère, à l’œil ardent,
Vipère dont la haine empoisonne la dent,
Siffle et trouble le toit d’une pauvre demeure.
Les mots heurtent … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Une sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
La querelle irritée, amère, à l’œil ardent,
Vipère dont la haine empoisonne la dent,
Siffle et trouble le toit d’une pauvre demeure.
Les mots heurtent … (Continuer)
Jamais elle ne raille,
Étant un calme esprit ;
Mais toujours elle rit.
Voici des brins de mousse avec des brins de paille ;
Fauvette … (Continuer)
Ô Louis ! je songeais ! – Baigné d’ombre sereine,
Le soir tombait ; des feux scintillaient dans la plaine ;
Les vastes flots berçaient … (Continuer)
Depuis six mille ans la guerre
Plait aux peuples querelleurs,
Et Dieu perd son temps à faire
Les étoiles et les fleurs.
Les conseils du … (Continuer)
Laisser un Commentaire(Musique de Beethoven)
Là-haut qui sourit ?
Est-ce un esprit ?
Est-ce une femme ?
Quel front sombre et doux !
Peuple, à genoux ! … (Continuer)
Ô peuple ! sous ce crâne où rien n’a pénétré,
Sous l’auguste sourcil morose et vénéré
Du tribun et du cénobite,
Sous ce front dont … (Continuer)
I.
DAVID ! comme un grand roi qui partage à des princes
Les états paternels provinces par provinces,
Dieu donne à chaque artiste un empire … (Continuer)
Quien no ama, no vive.
Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage,
Si jamais vous n’avez épié le passage,
Le … (Continuer)
I.
Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.
Pour la première fois l’aigle baissait la tête.
Sombres jours ! l’empereur revenait lentement,
Laissant derrière … (Continuer)
Jeanne dort ; elle laisse, ô pauvre ange banni,
Sa douce petite âme aller dans l’infini ;
Ainsi le passereau fuit dans la cerisaie ;… (Continuer)
Le jour mourait ; j’étais près des mers, sur la grève.
Je tenais par la main ma fille, enfant qui rêve,
Jeune esprit qui se … (Continuer)
Ô les tendres propos et les charmantes choses
Que me disait Aline en la saison des roses !
Doux zéphyrs qui passiez alors dans ces … (Continuer)
Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ.
Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant,
Noir squelette laissant passer le crépuscule.
Dans l’ombre … (Continuer)
Viens ! une flûte invisible
Soupire dans les vergers.
La chanson la plus paisible
Est la chanson des bergers.
Le vent ride, sous l’yeuse,
Le … (Continuer)
I.
C’est la date choisie au fond de la pensée,
Prince ! il faut en finir, – cette nuit est glacée,
Viens, lève-toi ! flairant … (Continuer)
L’univers, c’est un livre, et des yeux qui le lisent.
Ceux qui sont dans la nuit ont raison quand ils disent :
Rien n’existe ! … (Continuer)