Catégorie : Victor Hugo

Personne pour toi. Tous sont d’accord. Celui-ci,
Nommé Gladstone, dit à tes bourreaux : merci !
Cet autre, nommé Grant, te conspue, et cet autre, … (Continuer)

I.

Canaris ! Canaris ! pleure ! cent vingt vaisseaux !
Pleure ! Une flotte entière ! – Où donc, démon des eaux,
Où donc … (Continuer)

Hier, la nuit d’été, qui nous prêtait ses voiles,
Etait digne de toi, tant elle avait d’étoiles !
Tant son calme était frais ! tant … (Continuer)

A Mérante

Au printemps, quand les nuits sont claires,
Quand on voit, vagues tourbillons,
Voler sur les fronts les chimères
Et dans les fleurs les … (Continuer)

Les étoiles, points d’or, percent les branches noires ;
Le flot huileux et lourd décompose ses moires
Sur l’océan blêmi ;
Les nuages ont l’air … (Continuer)

On leur fait des sonnets, passables quelquefois ;
On baise cette main qu’elles daignent vous tendre ;
On les suit à l’église, on les admire … (Continuer)

Une terre au flanc maigre, âpre, avare, inclément,
Où les vivants pensifs travaillent tristement,
Et qui donne à regret à cette race humaine
Un peu … (Continuer)

Puisque làbas s’entr’ouvre une porte vermeille,
Puisque l’aube blanchit le bord de l’horizon,
Pareille au serviteur qui le premier s’éveille
Et, sa lampe à la … (Continuer)

VII.

Ô myrrhe ! ô cinname !
Nard cher aux époux !
Baume ! éther ! dictame !
De l’eau, de la flamme,
Parfums les … (Continuer)

« Vraiment, notre siècle est étrangement délicat. S’imagine-t-il donc que la
cendre des bûchers soit totalement éteinte ? qu’il n’en soit pas resté le plus … (Continuer)

Ma dague d’un sang noir à mon côté ruisselle,
Et ma hache est pendue à l’arçon de ma selle.

J’aime le vrai soldat, effroi de … (Continuer)

Oh ! talk not to me of a name great in story ;
The days of our youth are the days of our glory ;… (Continuer)

Regardez : les enfants se sont assis en rond.
Leur mère est à côté, leur mère au jeune front
Qu’on prend pour une soeur aînée … (Continuer)

On dit : — Soyez prudents. — Puis vient ce dithyrambe :
« — … Qui veut frapper Néron
Rampe, et ne se fait pas … (Continuer)

Cent mille hommes, criblés d’obus et de mitraille,
Cent mille hommes, couchés sur un champ de bataille,
Tombés pour leur pays par leur mort agrandi,… (Continuer)

Chantez ; l’ardent refrain flamboie ;
Jurez même, noble ou vilain !
Le chant est un verre de joie
Dont le juron est le trop-plein.… (Continuer)