Catégorie : Victor Hugo

C’était un grand château du temps de Louis treize.
Le couchant rougissait ce palais oublié.
Chaque fenêtre au loin, transformée en fournaise,
Avait perdu sa … (Continuer)

Ô ciel ! toute la Chine est par terre en morceaux !
Ce vase pâle et doux comme un reflet des eaux,
Couvert d’oiseaux, de … (Continuer)

Le Meurtre, d’une main violente, brise les liens
Les plus sacrés,
La Mort vient enlever le jeune homme florissant,
Et le Malheur s’approche comme un … (Continuer)

Vous eûtes donc hier un an, ma bienaimée.
Contente, vous jasez, comme, sous la ramée,
Au fond du nid plus tiède ouvrant de vagues yeux,… (Continuer)

I

Viens, ô toi que j’adore,
Ton pas est plus joyeux
Que le vent des cieux ;
Viens, les yeux de l’aurore
Sont divins, mais … (Continuer)

Oui. Je comprends qu’on aille aux fêtes,
Qu’on soit foule, qu’on brille aux yeux,
Qu’on fasse, amis, ce que vous faites,
Et qu’on trouve cela … (Continuer)

Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez.
On voit ce que je vois et ce que vous voyez ;
On est l’homme … (Continuer)

Psyché dans ma chambre est entrée,
Et j’ai dit à ce papillon :
– « Nomme-moi la chose sacrée.
« Est-ce l’ombre ? est-ce le … (Continuer)

Soit lointaine, soit voisine,
Espagnole ou sarrazine,
Il n’est pas une cité
Qui dispute sans folie
A Grenade la jolie
La pomme de la beauté, … (Continuer)

Rien encore n’a germé de vos rameaux flottants
Sur notre jeune terre où, depuis quarante ans,
Tant d’âmes se sont échouées,
Doctrines aux fruits d’or, … (Continuer)

Quel beau lieu ! Là le cèdre avec l’orme chuchote,
L’âne est Iyrique et semble avoir vu Don Quichotte,
Le tigre en cage a l’air … (Continuer)

Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t’en vas … (Continuer)

Mères en deuil, vos cris là-haut sont entendus.
Dieu, qui tient dans sa main tous les oiseaux perdus,
Parfois au même nid rend la même … (Continuer)

(extrait)

…Ce n’est pas le canon du noir vendémiaire,
Ni les boulets de juin, ni les bombes de mai,
Qui font la haine éteinte et … (Continuer)

Dans l’amoureux, qu’Éros grise,
L’imbécile est ébauché ;
La ponte d’une bêtise
Suit le rêve d’un péché.

Crains les belles. On se laisse
Vaincre aisément … (Continuer)

I

Les pauvres gens de la côte,
L’hiver, quand la mer est haute
Et qu’il fait nuit,
Viennent où finit la terre
Voir les flots … (Continuer)