II.
C’est fini. Le silence est partout, et l’horreur.
Vive Poulmann césar et Soufflard empereur !
On fait des feux de joie avec les barricades … (Continuer)
Une sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
II.
C’est fini. Le silence est partout, et l’horreur.
Vive Poulmann césar et Soufflard empereur !
On fait des feux de joie avec les barricades … (Continuer)
(Et nox facta est, VIII)
Le soleil était là qui mourait dans l’abîme.
L’astre, au fond du brouillard, sans air qui le ranime,
Se refroidissait, … (Continuer)
I.
Quand la terre engloutit les cités qui la couvrent,
Que le vent sème au loin un poison voyageur,
Quand l’ouragan mugit, quand des monts … (Continuer)
Au poète Mérante
I
Ami, viens me rejoindre.
Les bois sont innocents.
Il est bon de voir poindre
L’aube des paysans.
Paris, morne et farouche,… (Continuer)
Laisser un Commentaire— Oh ! comme ils sont goulus ! dit la mère parfois.
Il faut leur donner tout, les cerises des bois,
Les pommes du verger, … (Continuer)
J’étais seul près des flots, par une nuit d’étoiles.
Pas un nuage aux cieux, sur les mers pas de voiles.
Mes yeux plongeaient plus loin … (Continuer)
IV.
À genoux, à genoux, à genoux sur la terre
Où ton père a son père, où ta mère a sa mère,
Où tout ce … (Continuer)
I.
Oh ! je sais qu’ils feront des mensonges sans nombre
Pour s’évader des mains de la Vérité sombre,
Qu’ils nieront, qu’ils diront : ce … (Continuer)
Nous nous promenions parmi les décombres
À Rozel-Tower,
Et nous écoutions les paroles sombres
Que disait la mer.
L’énorme océan, — car nous entendîmes
Ses … (Continuer)
Oh ! pour remplir de moi ta rêveuse pensée,
Tandis que tu m’attends, par la marche lassée,
Sous l’arbre au bord du lac, loin des … (Continuer)
Oh ! Quand donc aurez-vous fini, petits oiseaux,
De jaser au milieu des branches et des eaux,
Que nous nous expliquions et que je vous … (Continuer)
Ainsi les plus abjects, les plus vils, les plus minces
Vont régner ! ce n’était pas assez des vrais princes
Qui de leur sceptre d’or … (Continuer)
Elle me dit : Quelque chose
Me tourmente. Et j’aperçus
Son cou de neige, et, dessus,
Un petit insecte rose.
J’aurais dû mais, sage ou … (Continuer)
Laisser un CommentaireOn y revient ; il faut y revenir moi-même.
Ce qu’on attaque en moi, c’est mon temps, et je l’aime.
Certes, on me laisserait en … (Continuer)
Aventurier conduit par le louche destin,
Pour y passer la nuit, jusqu’à demain matin,
Entre à l’auberge Louvre avec ta rosse Empire.
Molière te regarde … (Continuer)
L’enfer, c’est l’absence éternelle.
C’est d’aimer. C’est de dire : Hélas ! où donc estelle
Ma lumière ? Où donc est ma vie et ma … (Continuer)