Quand je rêve sur la falaise,
Ou dans les bois, les soirs d’été,
Sachant que la vie est mauvaise,
Je contemple l’éternité.
A travers mon … (Continuer)
Laisser un CommentaireUne sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
Quand je rêve sur la falaise,
Ou dans les bois, les soirs d’été,
Sachant que la vie est mauvaise,
Je contemple l’éternité.
A travers mon … (Continuer)
Laisser un CommentaireQui peut en ce moment où Dieu peut-être échoue,
Deviner
Si c’est du côté sombre ou joyeux que la roue
Va tourner ?
Qu’est-ce qui … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa source tombait du rocher
Goutte à goutte à la mer affreuse.
L’océan, fatal au nocher,
Lui dit : Que me veuxtu, pleureuse ?
Je … (Continuer)
Laisser un CommentaireNous sommes les proscrits ; nous habitons l’abîme ;
Nous assistons dans l’ombre au vil bonheur d’un crime ;
Nous regardons l’esprit vaincu par l’animal,… (Continuer)
Sur l’effrayante falaise,
Mur par la vague entrouvert,
Roc sombre où fleurit à l’aise
Un charmant petit pré vert,
Ami, puisque tu me laisses
Ta … (Continuer)
Dans le parc froid et superbe,
Rien de vivant ne venait ;
On comptait les brins d’une herbe
Comme les mots d’un sonnet.
Plus de … (Continuer)
Laisser un CommentaireDonc, vieux passé plaintif, toujours tu reviendras
Nous criant : — Pourquoi donc est-on si loin ? Ingrats !
Qu’êtes-vous devenus ? Dites, avec l’abîme … (Continuer)
Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! le vieux livre austère,
Le poème éternel ! — La Bible ? — Non, la terre.
Platon, tous … (Continuer)
IV.
Ô noirs événements, vous fuyez dans la nuit !
L’empereur mort tomba sur l’empire détruit.
Napoléon alla s’endormir sous le saule.
Et les peuples … (Continuer)
La flamme par ton ordre, ô Roi, luit et dévore.
De ton peuple en grondant elle étouffe les cris,
Et, rougissant les toits comme une … (Continuer)
L’humble chambre a l’air de sourire ;
Un bouquet orne un vieux bahut ;
Cet intérieur ferait dire
Aux prêtres : Paix ! aux femmes … (Continuer)
Le vieillard chaque jour dans plus d’ombre s’éveille ;
A chaque aube il est mort un peu plus que la veille.
La vie humaine, ce … (Continuer)
Un jour je vis le sang couler de toutes parts ;
Un immense massacre était dans l’ombre épars ;
Et l’on tuait. Pourquoi ? Pour … (Continuer)
Buen viage !
GOYA.
Amis, mes deux amis, mon peintre, mon poète !
Vous me manquez toujours, et mon âme inquiète
Vous redemande ici.
Des … (Continuer)
À cette terre, où l’on ploie
Sa tente au déclin du jour,
Ne demande pas la joie.
Contente-toi de l’amour !
Excepté lui, tout s’efface. … (Continuer)
Laisser un CommentaireX.
Et toi, céleste ami qui gardes son enfance,
Qui le jour et la nuit lui fais une défense
De tes ailes d’azur !
Invisible … (Continuer)