VII.
Toi qui bats de ton flux fidèle
La roche où j’ai ployé mon aile,
Vaincu, mais non pas abattu,
Gouffre où l’air joue, où … (Continuer)
Une sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
VII.
Toi qui bats de ton flux fidèle
La roche où j’ai ployé mon aile,
Vaincu, mais non pas abattu,
Gouffre où l’air joue, où … (Continuer)
IV.
Un grand houx, de forme incivile,
Du haut de sa fauve beauté,
Regardait mon habit de ville ;
Il était fleuri, moi crotté ;… (Continuer)
Lorsque j’étais encore un tout jeune homme pâle,
Et que j’allais entrer dans la lice fatale,
Sombre arène où plus d’un avant moi se perdit, … (Continuer)
Quoi donc ! la vôtre aussi ! la vôtre suit la mienne !
Ô mère au coeur profond, mère, vous avez beau
Laisser la porte … (Continuer)
Elle passa, je crois qu’elle m’avait souri.
C’était une grisette ou bien une houri.
Je ne sais si l’effet fut moral ou physique,
Mais son … (Continuer)
Les femmes sont sur la terre
Pour tout idéaliser ;
L’univers est un mystère
Que commente leur baiser.
C’est l’amour qui, pour ceinture,
A l’onde … (Continuer)
Voici que la saison décline,
L’ombre grandit, l’azur décroît,
Le vent fraîchit sur la colline,
L’oiseau frissonne, l’herbe a froid.
Août contre septembre lutte ;… (Continuer)
Laisser un CommentaireÔ soldats de l’an deux ! ô guerres ! épopées !
Contre les rois tirant ensemble leurs épées,
Prussiens, Autrichiens,
Contre toutes les Tyrs et … (Continuer)
O horrible ! o horrible ! most horrible !
Shakespeare, Hamlet.
On a cru devoir réimprimer cette ode telle qu’elle a été composée et publiée … (Continuer)
Laisser un CommentaireVents, souffles du zénith obscur et tutélaire,
N’éveillerez-vous pas quelque immense colère
Là-haut, dans le ciel sombre, en faveur des humains ?
Puisque deux nations … (Continuer)
De quoi parlait le vent ? De quoi tremblaient les branches ?
Étaitce, en ce doux mois des nids et des pervenches,
Parce que les … (Continuer)
À un ami.
Jeanne a laissé de son jarret
Tomber un joli ruban rose
Qu’en vers on diviniserait,
Qu’on baise simplement en prose.
Comme femme … (Continuer)
Laisser un CommentaireEnfants, beaux fronts naïfs penchés autour de moi,
Bouches aux dents d’émail disant toujours : Pourquoi ?
Vous qui, m’interrogeant sur plus d’un grand problème, … (Continuer)