Gastibelza, l’homme à la carabine,
Chantait ainsi:
‘ Quelqu’un atil connu dona Sabine ?
Quelqu’un d’ici ?
Dansez, chantez, villageois ! la nuit gagne
Le … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Une sélection de poèmes de Victor Hugo (1802-1885), écrivain romantique majeur né à Besançon, mort à Paris. Découvrez l’œuvre poétique de l’Homme-siècle, figure politique et intellectuelle du XIXe siècle.
Gastibelza, l’homme à la carabine,
Chantait ainsi:
‘ Quelqu’un atil connu dona Sabine ?
Quelqu’un d’ici ?
Dansez, chantez, villageois ! la nuit gagne
Le … (Continuer)
III.
Les clochettes sonnaient la messe.
Tout ce petit temple béni
Faisait à l’âme une promesse
Que garantissait l’infini.
J’entendais, en strophes discrètes,
Monter, sous … (Continuer)
Une croûte assez laide est sur la cicatrice.
Jeanne l’arrache, et saigne, et c’est là son caprice ;
Elle arrive, montrant son doigt presque en … (Continuer)
EN PLANTANT LE CHÊNE DES ÉTATSUNIS D’EUROPE
DANS LE JARDIN DE HAUTEVILLE HOUSE
LE 14 JUILLET 1870
I
Semons ce qui demeure, ô passants que … (Continuer)
Laisser un CommentaireV.
Donc, les soldats français auront vu, jours infâmes !
Après Brune et Desaix, après ces grandes âmes
Que nous admirons tous,
Après Turenne, après … (Continuer)
Nous errions, elle et moi, dans les monts de Sicile.
Elle est fière pour tous et pour moi seul docile.
Les deux et nos pensers … (Continuer)
Donc c’est fait. Dût rugir de honte le canon,
Te voilà, nain immonde, accroupi sur ce nom !
Cette gloire est ton trou, ta bauge, … (Continuer)
Ils gisent dans le champ terrible et solitaire.
Leur sang fait une mare affreuse sur la terre ;
Les vautours monstrueux fouillent leur ventre ouvert … (Continuer)
Nous étions, elle et moi, dans cet avril charmant
De l’amour qui commence en éblouissement.
Ô souvenirs ! ô temps ! heures évanouies !
Nous … (Continuer)
La prisonnière passe, elle est blessée. Elle a
On ne sait quel aveu sur le front. La voilà !
On l’insulte ! Elle a l’air … (Continuer)
A qui donc sommes-nous ? Qui nous a ? qui nous mène ?
Vautour fatalité, tiens-tu la race humaine ?
Oh ! parlez, cieux vermeils, … (Continuer)
Puisque j’ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine ;
Puisque j’ai dans tes mains posé mon front pâli ;
Puisque j’ai respiré parfois … (Continuer)
Je me disais : — Cet homme est-il un saltimbanque ?
Ne faut-il pas le plaindre ? Est-ce un sens qui lui manque ?
Il … (Continuer)
C’était le sept août. Ô sombre destinée !
C’était le premier jour de leur dernière année.
Seuls dans un lieu royal, côte à côté marchant, … (Continuer)
Laisser un CommentaireOh ! n’insultez jamais une femme qui tombe !
Qui sait sous quel fardeau la pauvre âme succombe !
Qui sait combien de jours sa … (Continuer)
Laissons les hommes noirs bâcler dans leur étable
Des lois qui vont nous faire un bien épouvantable.
Allonsnousen aux bois ;
Allonsnousen chez Dieu, dans … (Continuer)