Catégorie : Victor Hugo

Janvier est revenu. Ne crains rien, noble femme !
Qu’importe l’an qui passe et ceux qui passeront !
Mon amour toujours jeune est en fleur … (Continuer)

Ce qu’on appelle Charte ou Constitution,
C’est un antre qu’un peuple en révolution
Creuse dans le granit, abri sûr et fidèle.
Joyeux, le peuple enferme … (Continuer)

Nous étions seuls dans l’ombre et l’extase suprême.
Elle disait : je t’aime ! et je disais : je t’aime !
Elle disait : toujours … (Continuer)

Oui, duc, nous sommes beaux, et nous avons l’amour
Dans les yeux, et l’esprit sur le front ! Un beau jour,
Car il faut bien … (Continuer)

Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse,
Nous apportait l’odeur des fleurs qui s’ouvrent tard ;
La nuit tombait ; l’oiseau dormait dans … (Continuer)

Une femme m’a dit ceci : J’ai pris la fuite.
Ma fille que j’avais au sein, toute petite,
Criait, et j’avais peur qu’on n’entendît sa … (Continuer)

Ces lieux sont purs ; tu les complètes.
Ce bois, loin des sentiers battus,
Semble avoir fait des violettes,
Jeanne, avec toutes tes vertus.

L’aurore … (Continuer)

Prêtre, ta messe, écho des feux de peloton,
Est une chose impie.
Derrière toi, le bras ployé sous le menton,
Rit la mort accroupie.

Prêtre, … (Continuer)

Il est des jours abjects où, séduits par la joie
Sans honneur,
Les peuples au succès se livrent, triste proie
Du bonheur.

Alors des nations, … (Continuer)

J’adore Suzette,
Mais j’aime Suzon,
Suzette en toilette,
Suzon sans façon !
Ah ! Suzon, Suzette !
Suzette, Suzon !

Rimons pour Suzette,
Rimons pour … (Continuer)

Si j’étais la feuille que roule
L’aile tournoyante du vent,
Qui flotte sur l’eau qui s’écoule,
Et qu’on suit de l’oeil en rêvant ;

Je … (Continuer)

Vie ! ô bonheur ! bois profonds,
Nous vivons.
L’essor sans fin nous réclame ;
Planons sur l’air et les eaux !
Les oiseaux
Sont … (Continuer)

Ces hommes passeront comme un ver sur le sable.
Qu’est-ce que tu ferais de leur sang méprisable ?
Le dégoût rend clément.
Retenons la colère … (Continuer)

II.

Le jour s’enfuit des cieux ; sous leur transparent voile
De moments en moments se hasarde une étoile ;
La nuit, pas à pas, … (Continuer)

Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène.
Partout on voit marcher l’Idée en mission ;
Et le bruit du travail, plein … (Continuer)

L’enfant, voyant l’aïeule à filer occupée,
Veut faire une quenouille à sa grande poupée.
L’aïeule s’assoupit un peu ; c’est le moment.
L’enfant vient par … (Continuer)