Hélas ! que je me sens confondre
Par tes vers et par tes talents !
Pourrais-je encore à quarante ans
Les mériter et leur répondre … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Hélas ! que je me sens confondre
Par tes vers et par tes talents !
Pourrais-je encore à quarante ans
Les mériter et leur répondre … (Continuer)
Hé quoi ! vous êtes étonnée
Qu’au bout de quatre-vingts hivers,
Ma Muse faible et surannée
Puisse encor fredonner des vers ?
Quelquefois un peu … (Continuer)
Laisser un CommentaireJeune et charmant objet à qui pour son partage
Le ciel a prodigué les trésors les plus doux,
Les grâces, la beauté, l’esprit, et le … (Continuer)
D’où vient que ce nom de Fréron
Est l’emblème du ridicule ?
Si quelque maître Aliboron,
Sans esprit comme sans scrupule,
Brave les moeurs et … (Continuer)
Conservez précieusement
L’imagination fleurie
Et la bonne plaisanterie,
Dont vous possédez l’agrément,
Au défaut du tempérament,
Dont vous vous vantez hardiment
Et que tout le … (Continuer)
Certain cafard, jadis jésuite,
Plat écrivain, depuis deux jours
Ose gloser sur ma conduite,
Sur mes vers, et sur mes amours :
En bon chrétien … (Continuer)
Laisser un CommentaireÔ très singulière Martel,
J’ai pour vous estime profonde ;
C’est dans votre petit hôtel,
C’est sur vos soupers que je fonde
Mon plaisir, le … (Continuer)
Sonnet.
Il n’est mortel qui ne forme des voeux :
L’un de Voisin convoite la puissance ;
L’autre voudrait engloutir la finance
Qu’accumula le beau-père … (Continuer)
(Sur son mariage avec M. le duc de Richelieu.)
Un prêtre, un oui, trois mots latins
A jamais fixent vos destins ;
Et le célébrant … (Continuer)
Tu commences par me louer,
Tu veux finir par me connaître.
Tu me louras bien moins ; mais il faut t’avouer
Ce que je suis, … (Continuer)
Philis, qu’est devenu ce temps
Où, dans un fiacre promenée,
Sans laquais, sans ajustements,
De tes grâces seules ornée,
Contente d’un mauvais soupé
Que tu … (Continuer)
1734.
Je vous adore, ô ma chère Uranie !
Pourquoi si tard m’avez-vous enflammé ?
Qu’ai-je donc fait des beaux jours de ma vie ? … (Continuer)
Divinité que le ciel fit pour plaire,
Vous qu’il orna des charmes les plus doux,
Vous que l’Amour prend toujours pour sa mère,
Quoiqu’il sait … (Continuer)
J’irai chez vous, duc adorable,
Vous dont le goût, la vérité,
L’esprit, la candeur, la bonté,
Et la douceur inaltérable,
Font respecter la volupté,
Et … (Continuer)
1766.
Si vous brillez à votre aurore,
Quand je m’éteins à mon couchant ;
Si dans votre fertile champ
Tant de fleurs s’empressent d’éclore,
Lorsque … (Continuer)
À mon avis, l’hymen et ses liens
Sont les plus grands ou des maux ou des biens.
Point de milieu ; l’état du mariage
Est … (Continuer)