Aller directement au contenu

PortRaymond Queneau

Le mur qui s’allonge et le toit qui plonge les bois tout pourris ne sont plus ici

La grue très oblique les porcs les barriques bien que disparus sont rien moins que vus

Ce bateau sans grâce près du ciel s’efface laissant le jour gris s’enfuir avec lui

Lectures : 0
Publié dansPoètesRaymond Queneau

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *