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Sans issueRaymond Queneau

Les pontons des cathédrales les jubés des paquebots entravaient la marche animale d’un rôdeur qui n’est pas que beau

l’harmonie arithmétique de la ville indépassée noyait le chaos chimérique de ses pensées amenuisées

changeant pour une fois encore la vie toujours si semblable il dévora deux mandragores en buvant de l’eau minérale

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Publié dansPoètesRaymond Queneau

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