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Seul et désespéréJacques Prevel

Seul et désespéré

J’habite la conscience de l’invisible débat

Et la pluie qui tombe après le froid glacial

N’a pas changé l’apparence de l’asphalte mon seul

refuge

J’ai descellé la pierre à battement

Pour le triple battement de l’enfer

Et mon voyage à travers la déraison

S’incline à durer comme celui de l’esprit des morts

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Publié dansJacques PrevelPoètes

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